Lucas nous la joue "Eyes on me".
Si le traitement de l'histoire d'amour est ultra-convenu et sans originalité, l'autre "détail qui tue" reste les retrouvailles complètement ridicules d'Anakin avec sa mère. Je ne vais pas spoiler mais comment on peut se permettre un truc aussi peu crédible quand on est un professionnel du cinéma? Passé ces déconvenues, toute la seconde partie du film reste une orgie délicieuse de batailles certes en numériques mais captivantes. On a perdu Liam Neeson en route mais on récupère au passage Sir Christopher Lee, magistral dans son duel au sabre laser avec... Je le dis? Non même s'il y aurait prescription plus de 10 ans après sa sortie. Pour cette bonne idée, je met un point de plus.