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Solar Crisis.
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le 24 mars 2015
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Sunshine par Gaor
Boyle refait le coup de '28 Days Later' avec un film à la première partie fantastique et un épilogue qui fait pschit dès lors qu'on comprend qui est le Méchant. Soyons sérieux, on se fout des incohérences scientifiques, sans quoi on enterre le genre SF. Le fait est que le film est diablement accrocheur et développe, avec des moyens limités évidents, une dramaturgie qui le dépasse sans manichéisme forcené. Le dernier bon film de Boyle ('Slumdog Millionaire' étant à vite oublier).
7
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le 5 mai 2010
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Naissance d'une dimension
Comme c'est un peu chiant de redire ce que tout le monde a déjà dit en mieux ou ce que tout le monde sait déjà, je vais la jouer ego-trip typiquement Web post 2003. Autant dire que ça va être...
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