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Bus stop.
Ayant tâté du blockbuster hollywoodien avec le sympathique "Green Hornet", Michel Gondry revient à un cinéma plus simple, plus spontané, dans la droite lignée de "Block Party" et de "Be kind rewind",...
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le 3 févr. 2013
21 j'aime
The We and the I par Strangeman57
Gondry est multi-facette mais il en a une que j'ai du mal à apprécier; il s'agit de celle où il se veut plus documentaire. Que ce soit "Dave Chapelle's Block Party" ou "L'épine dans le coeur", il a du mal à nous faire intéresser par ses sujets malgré leur originalité et la façon à part dont ils sont traités.
Ici, dans "The We and the I", il essaye une sorte de "Strip Tease" (l'émission hein, parce que lui tentant un strip tease... ça ne serait peut-être pas étonnant mais pas très excitant) sur une jeunesse que l'on peut observer tout les soirs en prenant le bus à la sortie des écoles. Personnellement, elle ne me donne pas trop envie de la suivre, déjà rien qu'à la bande-annonce.
Il faut dire que le travail d'insertion dans le milieu a donné un scénario pratiquemment écrit sur ce que les jeunes ont à raconté, et vu à quel point le film est vain, pas grand chose on dirait. De plus, les petits bricolages auquel il nous a habitué font ici un peu tâche. De belles idées donc pour un portrait réussi mais inutile.
Ici, dans "The We and the I", il essaye une sorte de "Strip Tease" (l'émission hein, parce que lui tentant un strip tease... ça ne serait peut-être pas étonnant mais pas très excitant) sur une jeunesse que l'on peut observer tout les soirs en prenant le bus à la sortie des écoles. Personnellement, elle ne me donne pas trop envie de la suivre, déjà rien qu'à la bande-annonce.
Il faut dire que le travail d'insertion dans le milieu a donné un scénario pratiquemment écrit sur ce que les jeunes ont à raconté, et vu à quel point le film est vain, pas grand chose on dirait. De plus, les petits bricolages auquel il nous a habitué font ici un peu tâche. De belles idées donc pour un portrait réussi mais inutile.
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le 17 sept. 2012
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