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Totale recale
Soit une base de 0 : -2 parce qu'il est où Schwarzie. -2 parce qu'elle est où Sharon. -2 parce qu'elle est où la planéte Mars. -1 parce qu'il est où le type qui jouait dans V. -1 parce qu'elles sont...
Par
le 9 mai 2016
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16
Allons chez Rekall pour oublier cette bouse
Déjà, à la base, Colin Farrell, j'ai du mal.
Beaucoup de mal.
Surtout après qu'il ait raflé l'oscar du crime cinématographique dans Alexandre. Là, on aurait déjà dû le radier à VIE de plateaux de tournage.
C'est le plus ricain de tous les héros des blockbusters et de très loin, le moins charismatique. Son jeu se limite à remuer ses gros sourcils pour informer le spectateur qu'il est censé avoir des émotions, au point de faire passer Schwarzy pour un poète. Car Farrell, qui parvient quand même à m'endormir quand il joue de la mitraillette, est une coque vide, comme tout ce film de commande qu'il porte sur ses épaules stéroïdées.
Un film que je ne vais même pas me donner la peine de descendre, parce que j'ai déjà perdu 2 heures de ma vie à le visionner, tant ce film papier-glacé condense comme rarement TOUS les gros clichés qu'on reproche au cinéma US. Il fut un échec commercial même chez Tonton Sam, c'est dire !
Bref un film qui n'aurait jamais du exister, et à oublier vite fait pour maintenir intacte son intégrité mentale.
Beaucoup de mal.
Surtout après qu'il ait raflé l'oscar du crime cinématographique dans Alexandre. Là, on aurait déjà dû le radier à VIE de plateaux de tournage.
C'est le plus ricain de tous les héros des blockbusters et de très loin, le moins charismatique. Son jeu se limite à remuer ses gros sourcils pour informer le spectateur qu'il est censé avoir des émotions, au point de faire passer Schwarzy pour un poète. Car Farrell, qui parvient quand même à m'endormir quand il joue de la mitraillette, est une coque vide, comme tout ce film de commande qu'il porte sur ses épaules stéroïdées.
Un film que je ne vais même pas me donner la peine de descendre, parce que j'ai déjà perdu 2 heures de ma vie à le visionner, tant ce film papier-glacé condense comme rarement TOUS les gros clichés qu'on reproche au cinéma US. Il fut un échec commercial même chez Tonton Sam, c'est dire !
Bref un film qui n'aurait jamais du exister, et à oublier vite fait pour maintenir intacte son intégrité mentale.
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le 18 déc. 2012
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