L'ale ou la cuisse
Henry Fonda est un jeune puceau fils de milliardaire qui, après avoir soigné ses velléités herpétologistes en Amazonie, tombe pendant la croisière du retour dans les anneaux étroits d'une belle...
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le 24 nov. 2011
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Une délicieuse comédie sentimentale où l'humour et les gags s'enchaînent avec bonheur.
Barbara Stanwyck, le film lui appartient clairement, en dépit de l'humiliation maladroite qu'elle est sensée avoir reçu à mi-film. Toute la première partie sur le bateau est exemplaire dans sa fluidité, les scènes à double-sens jubilatoires se multiplient. Sturges a l'air comme ça d'un petit père tranquille installant une énième comédie de maîtres et valets, avec ce qu'il faut en écriture virtuoise et en zest de sophistication (l'observation de la proie en miroir)
Ce tour de passe-passe aux dialogues brillants comporte des moments inoubliables (le cheval!) et des jeux de séduction à la fois sexy et hilarant entre les deux héros, notamment ce très long collé serré visage contre visage pendant lequel ça disserte d'idéal amoureux, avec Fonda qui se fait masser pendant 4 minutes les oreilles en continue.
Barbara Stanwyck est à damner un Saint, quel sensualité !
Qui ne rêverait pas d'être à la place de ce Charles Pike, mais pas pour se faire voler... évidement.
Créée
le 17 oct. 2016
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