Des types avec des casques ridicules en métal rouge des strip-teaseuses avec des ailles de libellule
Le problème reste entier : privé d’une enfance Marvel-Strange, je peine à comprendre les tenants et les aboutissants des films à collants.
Tandis que d'autres reconnaissaient les apparitions de la Femme-Libellule et du Vociférateur (j’extrapole), je tentais de suivre l’intrigue. Plutôt bien faite, d’ailleurs, un savant mélange entre la réalité (la Baie des Cochons) et l’histoire alternative : comment les mutants sont devenus les X:Men.
Bon, ben, à la fin, on sait pourquoi.
Mais ça ne change rien au problème : les films de superhéros ont beau devenir « matures », être tournés par la A-list de Hollywood (Vaughn, Singer, Nolan, Branagh, Snyder) et avec (Fassbender, Oldman, Bale, Bacon, Jackman, Mc Kellen), ça ne me parle pas.
En rien.
Des types avec des casques ridicules en métal rouge, des strip-teaseuses avec des ailles de libellule dans le dos, des anges en porte jarretelles, le tout devant sauver la planète tout en résolvant de graves névroses personnelles, je ne vois pas.
Donc allez voir X-Men, mais sans moi.