Critiques de La Rançon de la peur

dagrey
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Violences et kidnapping à Milan

Giulio Sacchi est un petit truand drogué, violent et psychotique. A l'issue d'un cambriolage qui tourne mal, il se fait passer à tabac par ses partenaires. Avec deux complices, il décide d'enlever la...

le 2 janv. 2020

11 j'aime

6

Play-It-Again-Seb
6

La rançon de la violence

Poursuite de la découverte des « Poliziottesco » avec cette Rançon de la peur qui jouit d’une excellente réputation. Caméra à l’épaule, charivari de la rue, coups de feu qui claquent, le film annonce...

Par

le 1 déc. 2022

6 j'aime

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AMCHI
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Critique de par AMCHI

La Rançon de la peur est un poliziesco assez réputé pourtant il m'a laissé quelque peu sur ma faim ; au vue des critiques assez flatteuses je dois avouer que j'ai trouvé ce Lenzi pas tout à fait...

le 28 juil. 2014

3 j'aime

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zinjero
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Un bon poliziesco

Dès son titre, le film de Lenzi attaque : "Milano Odia : la polizia non può sparare", "Milan réprouve : la police ne peut pas tirer". Comment alors régler la criminalité dans les rues de la capitale...

le 21 août 2017

1 j'aime

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StéphaneE
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Critique de par StéphaneE

Le réalisateur italien Umberto Lenzi est, comme tous ses compatriotes, un artisan du cinéma Bis et un touche à tout. Aussi bien à l'aise dans le giallo que dans le film de cannibales ou le film...

le 26 mars 2012

1 j'aime

JJC
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Critique de par JJC

Ce film a été réalisé pendant les Années de Plombs, période durant laquelle l'Italie était quasiment mise à feu et à sang par la mafia, l'extrême-gauche, l'extrême-droite et la petite délinquance.....

Par

le 9 juin 2012

1 j'aime

6

Pascoul_Relléguic
7

Critique de par Pascoul Relléguic

Tomas Milian est grand en psychopathe homicide. Il a un pur faux air de Sonny Chiba dans les les films de yak, tout en grimaces et mâchouillages de clopes/cure-dents. Sinon, le commissaire est...

le 12 janv. 2020

HenriMesquidaJr
7

Critique de par HenriMesquidaJr

Un polar urbain italien (polizzioto) très violent par un des spécialistes des films de genre fin 70. Ici la violence est brute et non stylisée. Le héros joué par Tomas Millan est une vraie bête...

le 17 juin 2015