Belles, c'est un mot qu'on dirait inventé pour elles (Best Art Vinyl 2010)

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Clairement, le fait qu'il soit premier est triste pour les autre participants mais en même temps tellement énorme. Les mecs se sont dit "Putain et si on mettait une photo de chat en cover ?" la blague devient un fait et le groupe alors habitué aux pochettes psyché très travaillés nous pond un photomontage qui résume toute l'histoire des Internets. Strictement rien à avoir avec le contenu de l'album ni même le style général du groupe, un bon gros foutage de gueule qui est récompensé, presque pour se moquer de tout les auto portraits déguelasse qu'on trouve sur les albums des stars de la pop.
Bon par contre faut pas déconner le groupe ne pousse pas le vice sur tout les singles qui ont suivi (tout juste une petite photo de groupe bien naze avec la même pastille jaune).

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Avec son cultissime Odessa Caribou a du sauver bien des soirées. Qui dit soirée dit produit illicite. Qui dit produit illicite dit cette très belle jaquette qui arrive sur la seconde marche du podium.

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L'album en question ou plutôt l'Ep, Split : http://www.bestartvinyl.com/1-0-0/images/200/2010Pablo%20Cahn%20Cesar%20Merveille.jpg

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José Gonzalez en solo était habitué à un univers un peu dark mais ici c'est une avalanche de couleurs (pas trop saturés mais couleurs quand même) qui donne au final un superbe tableau explosif pour un album pourtant très discret où José retrouve ses partenaires d'enfance.

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Arcade fire, toujours très bon côté illustration et cette fois-ci entre autres grâce à Caroline Robert.

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Fini les abdo, pour cette pause sans MGMT sur la jaquette (puisque pour l'album éponyme le duo reviendra passer un coup de tondeuse à gazon) c'est Anthony Ausgang qui se colle à l'illustration. Dommage que le gars n'ai pas été rappelé pour les singles car ce dessin de plus ou moins mauvais goût retranscrit bien l'orientation hippsychedélique du groupe qui délaisse les hits pop pour faire du neuf.
A noter quand même la reprise en négatif pour l'album de remix, histoire d'ajouter encore un peu de WTF. Ça nous fais donc du MWGTMFT tout ça.

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Dat ass.

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Une pochette qui fourmille d'éléments et qui perd le spectateur, c'est exactement pareil pour les 7 morceaux de cet EP.

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Sans texte on reconnait pourtant vite de quoi il s'agit, astucieux.
La technicité est tout contemporaine mais la photo aurait très bien pu être réalisé à l'âge d'or de DEVO et il en va de même pour la musique, on se rend compte que les papys de l’électronique ont sacrément mal vieilli et que l'on est face à une sorte d'ancien album remastérisé. Too bad.

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Bien avant le Next Day de David..

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A force de faire les listes par année (et dans le désordre) je me rend compte des similarités, ici on pense tout de suite à !!!
En tout cas les frères plongent dans le grand bain d'une musique accessible, dynamique et finalement très appréciable, un album pas si obscur qu'il n'y paraît.

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Bon, clairement rien de transcendant, on sait qu'on est dans du commercial.

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Comme l'album, plein de saveur, difficile à percevoir mais terriblement envoutant.

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Une pochette à l'image d'un album ambitieux, un brin schizophrène et excellemment produit. Mais l'histoire derrière cette pochette est un poil plus complexe. Elle provient de Royal Robertson, un mec qui s'est auto-proclamé prophète et eu une vie incroyable. Et on imagine bien toute la folie du type rien qu'en écoutant le dernier morceau fleuve de l'album.

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Un bien étrange visage casqué avec des petites loupiotes dessus, oui Squarepusher pourrait être le troisième Daft Punk et ce n'est pas la dizaine de tracks de cet album qui dira le contraire. Une voix très électronique sur des tempo lents et voluptueux, Random Access Memories 3 ans avant ?