FPS : les oeuvres les plus marquantes

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J'aurais pu commencer cette liste avec Catacomb 3D ou un fossile sur borne d'arcade mais j'ai préféré choisir ce bon vieux Wolfenstein 3D, bien plus caractéristique du genre.

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Ecoulé à des millions d'exemplaires, Doom a inscrit le genre dans le coeur des joueurs. Le terme "doom-like" sera ensuite utilisé pendant des années.

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Au menu, plein de fonctionnalités intéressantes : regard libre à la souris, possibilité de tenir une arme dans chaque main, tir secondaire et multi en coop'.

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Un peu à la masse techniquement avec ses "sprites 2D", Duke Nukem 3D reste un concentré de fun parfaitement irrévérencieux.

D'autres FPS utilisant le "build engine" : Witchhaven (1995), Exhumed (1996), Blood (1997) et Shadow Warrior (1997).

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Un shoot brutal sous influence lovecraftienne avec, enfin, des personnages modélisés en 3D. Rebaptise le genre en "quake-like".

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Premier grand FPS sur console de salon, GoldenEye est chéri par tous ceux qui y ont joué gamins. Au programme : "headshots", duels épiques en multijoueur et séquences d'infiltration en solo.

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Avec sa mise en scène grandiose à base de scripts et son intelligence artificielle surprenante, Half-Life a bien bluffé son monde fin 1998.

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La localisation des dégâts était assez ahurissante (entre-jambe, cou, genou...). A ma connaissance, on n'a pas fait mieux depuis.

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Pas la peine de présenter le plus célèbre "mod" pour Half-Life, si ?
Sans doute FPS multi le plus célèbre de par le monde... Go go go !

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J'ai fini par évincer le 2, mais impossible de faire l'impasse sur Quake 3, monument du FPS multijoueur : furieux, bourrin, tactique... et techniquement exceptionnel. Une référence encore aujourd'hui.

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Concurrent direct de Quake 3, avec quelques originalités (power-ups, modes domination et assaut...). Plusieurs suites ont vu le jour : UT 2003 et 2004, les deux Unreal Championship et UT 3.

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Sans doute l'une des plus grosses déceptions de l'histoire du FPS. Un joli craquage signé John Romero (Doom).

L'aventure se déroule à quatre époques différentes : Japon futuriste, Grèce antique, Norvège médiévale et un San Francisco presque contemporain.

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Ultra régressif et décalé, Serious Sam propose de massacrer des monstres par milliers dans des niveaux divisés en arènes.

Dans le même genre (et en mieux) : Painkiller.

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Un FPS assez mineur mais qui a eu le mérite de proposer pour la première fois un décor en partie destructible (y compris les murs). Joli rendu des vitres brisées aussi.

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Jeu de lancement de la première Xbox et très grand succès publique/critique. Les développeurs de Marathon sont aux commandes.

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Pour sa narration cinématographique qui donnera naissance à la prolifique série des Call of Duty.

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64 joueurs sur une même carte et des véhicules à foison : c'est ça Battlefield ! Là encore, le jeu a engendré de nombreuses suites.

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Derrière ses paysages paradisiaques aux allures de démo technique se cache un FPS de haute volée particulièrement exigeant proposant des environnements très ouverts.

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Même si je trouve cette suite décevante, je suis obligé de constater son incroyable gestion de la physique.

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Alors certes, on passe tout son temps à écumer des bureaux et des caves mais, putain, quelle IA incroyable !

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A mon sens le premier FPS à intégrer l'environnement de façon aussi ingénieuse. Et c'est frenchy.

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Descendant de l'illustre System Shock 2, Bioshock réduit le volet RPG tout en proposant un univers sous-marin steampunk de très grande classe.

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FPS cinématographique dans la veine de Medal of Honor. Enorme succès public avec au moins 13 millions d'exemplaires écoulés.

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FPS multi s'articulant autour de plusieurs classes de personnages. L'immense succès de ce deuxième opus m'a convaincu de le privilégier par rapport à son aîné.

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Un Counter-Strike à la sauce zombie particulièrement haletant.

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Le gameplay reprend grosso modo le gameplay armes + pouvoirs des précédents Biochock. Mais si je l'ajoute ici, c'est bien pour son univers graphique à couper le souffle et son scénario très travaillé. Le final est bluffant.