L'année 2014 en 15 films!

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Qu'est-ce que j'aime le cinéma.

Quand je repense à mon premier souvenir de cinéma. Il y a quoi, une vingtaine d'année. Oui, c'était Le Roi Lion. J'avais 5 ans et j'ai le souvenir d'avoir versé des larmes devant la mort de Mufasa. Je découvrais le cinéma.

20 ans après, oui aujourd'hui, je viens de redécouvrir le cinéma. Une nouvelle naissance. Oui j'ai 25 ans, oui j'ai versé une larme (longtemps retenue pendant le film), oui j'ai vu Interstellar.
Et rien que pour ça merci Mr Nolan. Vous êtes le plus grand aujourd'hui.
Et Interstellar est l'une des plus grandes expériences cinématographiques. Gravé à jamais, classique instantané.
Il y aura un avant et un après Interstellar, comme il y avait eu un avant et un après "2001, L'odyssée de l'espace".

10/10

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Triste regard visionnaire (mais juste), sur l'état d'une société plongée dans la solitude et "n'existant" que par et pour la technologie.
Il s'agit de la pépite de 2014. Je ne vois pas qui et comment, on pourrait détrôner un aussi grand morceau de cinéma (MAJ: Interstellar vient de tout chambouler...)

9,5/10

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9/10

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8/10

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Dans la lignée du "Crash" de Cronenberg, pour le côté immoral et obsessif d'une société toujours faim de spectaculaire.
"Night Call" et ses images crues, fortes, nous scotche. Gyllenhaal y est étincelant. Un uppercut.

8/10

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« 12 Years a Slave » se dévore, telle la lecture d’un vieux manuscrit écrit un soir de pluie au coin d’un feu. N’oubliant pas que c’est une époque difficile de l’histoire américaine, tous les ingrédients d’un grand et beau film arrivent tout de même à être réunis: du fort récit à ses sublimes images, tout est à pleurer. Bouleversant. Nul doute que ce « 12 Years a Slave » marquera l’année 2014 et sera surtout, un candidat potentiel très sérieux à la course aux oscars 2014.

8/10

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8/10

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8/10

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Très intéressant de voir Jean-Marc Vallée dépeindre d’un côté, l’avancée scientifique de l’époque « trompeuse » et de l’autre, le combat d’un homme pour une bonne cause malgré les nombreux bâtons dans les roues qui lui ont été mis. Film très enrichissant donc, sur les mentalités de l’époque et leur évolution. Jamais d’esbroufe, souvent saisissant, un moment enrichissant sur une époque et une maladie peu conter au cinéma. Possible d'entendre parler de Dallas Buyers Club aux oscars 2014.

7,5/10

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Une lenteur justifiée, un ton noir & psychotique, peu bavard mais des images loquaces. Incroyablement hypnotisant mais dur à interpréter.

7,5/10

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7,5/10

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7,5/10

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7,5/10

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7,5/10