La belle de Cadix a une jaquette de velours (Best Vinyl Art 2009)

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Grâce à Scott Bendall at La Boca, Muse décroche la première place du top, une illustration haute en couleur mais qui n'attaque pas l’œil pour autant et surtout un univers graphique génial repris pour les singles qui ont suivi. Pas de drapeau ou de violence sur la jaquette de The Resistance, c'est aussi ça la créativité, faire l'exact inverse de ce qu'on nous demande.

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Magnifique peinture de Jenny Saville, où au milieu de tons froids ressort le sang, dans sa plus pure violence.

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Les gravures ont toujours eu la côté sur les jaquettes de CD, Martin Ander le sait bien et offre un portrait très mystique de Karin Elisabeth Dreijer Andersson.

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Massive Attack, toujours dans le bizarre et le saugrenue, un style qui leur colle à la peau, pour le plus grand plaisir des fans.

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Après l'excellent American Idiot c'est la dégringolade. Un double album bien fade mais au moins concentré autour de cette idée du tag (tiens tiens ça rappelle un album de Coldplay qui sortira plus tard). Bref Chris Bilheimer réalise aussi bien pour l'album que les nombreux singles des visuels très Bansky. A noter une nouvelle typo pour le groupe qui leur va plutôt bien.

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Forme, titre, couleurs, du minimalisme à l'état pur mais au moins l'album est immédiatement identifiable.
Et cette illu colle à merveille à ce petit bonbon de pop digital très positive.

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Non ce n'est pas un album de !!!

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Editors, grand habitué de la compétition change de style entre chaque album pour notre grand plaisir; Le plaisir de la diversité, pas celui d'admirer cette illustration très 90' avec un choix de couleur douteux, des formes simples et évasives et finalement pas grand chose de mémorable à l'image d'un album passe partout.

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La très pop La Roux se la joue forcément portrait mais au moins l'exercice est réussi à la perfection. Alexander Brown joue à merveille sur les couleurs et la coupe de cheveux de Elly Jackson pour un résultat presque divin. Bien évidemment la belle mise aussi sur le fait qu'elle fasse penser par bien des aspects au père Bowie.

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Quand je pense Depeche Mode je ne pense pas forcément joie et couleur de tout partout. Mais pour leur 12ème album le groupe anglais fais confiance à Anton Corbjin. Le résultat est minimaliste et coloré à l'image des Pet Shop Boys et détonne. Les pochettes de singles se joueront de ce jeu de barres colorées au gré des différents titre. Un concept fort et très reconnaissable.

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Les p'tits gars de Baltimore aiment jouer avec nos oreilles et nos yeux pour nous emmener loin. Et ici ils ne dérogent pas à la règle, le genre de cover à ne pas regarder trop longtemps et je ne vous parle même pas du single My Girls, déconseillé aux daltoniens, aux épileptiques et à tout les autres.

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Dans la plus pure tradition pop, la chanteuse anglaise s'illustre elle même en portrait pour cet album rayonnant. Pas de bol, la photographie (réalisée par ses propres soins) souffre d'une réalisation très brouillonne avec peu ou pas de contrastes, aucune couleur qui ne ressort et une composition hasardeuse. Beaucoup d'idées, comme en chanson, mais une technique moins maitrisée.

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Certains estimeront que c'est du foutage de gueule, d'autres que c'est du pur art. Perso je pense que les pochettes de single qui sortiront ensuite et qui incrustent une photographie dans le X ont quand même un plus grand intérêt graphique (un peu comme pour l'album suivant). En tout cas on est sur que peu importe le nombre de disques à sortir, le groupe restera fidèle à l'idée de Phil Lee. Ce sur quoi je suis curieux c'est comment le concept sera détourné (pour l'instant ils ont testé le négatif) de manière intelligente à chaque fois.

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Les Weezer, abonnés aux pochettes bien had been qui font sourire le plus souvent. Le groupe a la musique très cool laisse donc le soin à Jason Neely de réaliser cette dography très.. spécial. En grand fan des chiens je suis déçu qu'il n'y en ai pas sur les singles. Autre déception (cette fois-ci en fan de Lost) : l'album Hurley de 2010 n'a pas été nominé alors que là encore ça sentait un peu le n'importe quoi.

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La version en lice légèrement différente mais toujours aussi pétillante : http://www.bestartvinyl.com/1-0-0/images/200/2009The%20Hours.jpg

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L'album en question est Smashes & Trashes avec une pochette très graphique de Shotopop : http://www.bestartvinyl.com/1-0-0/images/200/2009Skunk%20Anansie.jpg

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Le padré du rap US pour la première fois de sa longue carrière décide de ne pas afficher sa bouille en cover et de laisser faire les artistes. Le résultat, un trompe l’œil simple, efficace et qui reste dans les mémoires.
Un de mes coups de cœur dans l'année car c'est un exercice de style rare dans ce milieu musicale et Jay Z place toute ses influences musicales en une photographie. L'idée du 3 est abordée de manière simple et bien évidemment si il y a Blue dans le titre alors on met du rouge.
Un coup de maître pour Dan Tobin Smith avec 3 bandes rouges que l'on retrouvera sur tout les singles.