Mes JEUX physiques PS4 / PS5 - 146 (Annotation détaillée pour chaque jeu)

Annotation :

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1) NOTES :
- 7/10 par GameKult
- 17/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Un modèle d'accessibilité
- Qu'on a envie de revoir une fois terminé
- Un concept fabuleux débordant de créativité et qui va de surprise en surprise
- Des images somptueusement illustrées et animées
- Intuitif et ingénieux sans être trop difficile
* FAIBLESSES :
- Très court, 2 heures grand maximum pour en faire le tour

3) CONCLUSION :
Parfaitement adapté aux interactions digitales, Gorogoa se feuillette autant qu'il se joue, sans chercher à vous mettre face à des casse-têtes terriblement complexes. Les changements d'état du pointeur sur PC donnent même un léger avantage dans la résolution des énigmes, sachant qu'on pourra désactiver les aides visuelles en formes d'ondes si l'on préfère chercher soi-même les points à examiner dans les décors. Parfois proche d'un Monument Valley en 2D, l’œuvre concise et cohérente de Jason Roberts - épaulé par Eduardo Ortiz Frau au sound design et Joel Corelitz aux musiques - brouille davantage les pistes mais parvient toujours à donner un sentiment d'accomplissement dès qu'on imbrique les rouages de sa logique onirique, où rien n'est vraiment là par hasard. Il faut l'observer avec un esprit ouvert mais analytique pour en extraire le sens, au gré de ses habiles tours de passe-passe.

4) DURÉES : / A : 2h / B : 2h / C : 2h30

5) TROPHÉES À 100% : 3/10

6) : PEGI 3 / 1 Go / Rien / Solo

Annotation :

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1) NOTES :
- 7/10 par GameKult
- 16/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Un gameplay diversifié qui réussit à créer la surprise
- La bienveillance de son die and retry
- Bon sang, mais quelle B-O !
- Une ambiance magique
- Une expérience unique
- Une direction artistique renversante
- Une mise en scène impressionnante et sans temps mort
- De nombreuses références au jeu vidéo et au cinéma
* FAIBLESSES :
- Du flottement dans la prise en main
- Une courte durée de vie qui peut décevoir
- Des niveaux parfois trop courts

3) CONCLUSION :
Fougueux, passionnel et recherchant l’excitation d’une vie d’aventure, un coeur sauvage est difficile à prendre, mais aisé à briser. C’est dans ce même élan fou que Simogo a écrit Sayonara Wild Hearts, en cherchant à émerveiller son joueur tout en ravissant ses oreilles. Le concept hybride entre jeu vidéo et album pop carbure ici à 200 km/h. Son gameplay flottant pourra en laisser quelques uns sur le bas-côté, mais le soin apporté à ses visuels ne manquera pas d’éblouir, comme un véhicule en plein phares au creux de la nuit. C’est presque sans surprise que Simogo réussit encore à nous surprendre, pourtant ici bien loin de leur registre habituel. Et comme toutes les bonnes choses ont une fin, quel dommage que celle de Sayonara Wild Hearts arrive si vite.

4) DURÉES : / A : 1h30 / B : 2h30 / C : 9h

5) TROPHÉES À 100% : 4/10

6) : PEGI 12 / 1 Go / Rien / Solo

Annotation :

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1) NOTES :
- Non testé par GameKult
- 15/20 par JeuxVideo.Com

3) CONCLUSION :
flOw fait partie de ces jeux atypiques qui offrent avant tout une expérience, des émotions, un voyage en somme. Malgré quelques imprécisions, flOw n'en est pas moins empli de beauté, et demeure intéressant pour quiconque veut changer d'air avec un jeu plus conceptuel.

4) DURÉES : / A : 1h30 / B : 2h30 / C : 5h30

5) TROPHÉES À 100% : ?

6) : PEGI 3 / 1 Go / Rien / Solo, et Multi jusqu'à 4 en Local

Annotation :

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1) NOTES :
- 7/10 par GameKult
- 17/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Beau à en pleurer
- Accessible à tous
- Bande-son enivrante
- Certaines phases de jeu franchement à tomber
- La fonction cross-buy : la version PS4 gratuite si vous l'avez déjà sur PS3
* FAIBLESSES :
- Court à en pleurer
- Un propos très basique

3) CONCLUSION :
Juger de la qualité d'un jeu pour d'autres personnes n'est pas toujours simple, mais le faire avec Journey est une tâche quasiment impossible, tant l'aventure proposée sera vécue différemment par celui / celle ayant la manette en main ou pas. Pur spectacle limitant au minimum les interactions et les indications, le titre de thatgamecompany sera trop court et trop simple pour certains ou parfaitement rythmé et immédiatement accessible pour d'autres, mais sa beauté formelle et tous ses passages étincelants ne laisseront pas grand monde indifférent. Il faudra juste être prêt à en payer le prix, qu'on pourra légitimement trouver un peu élevé compte tenu de la durée du voyage, aussi marquant soit-il.

* Journey sur PS4 ne diffère en aucun cas de la version PlayStation 3 sur le fond. Au niveau de la forme, il est désormais jouable en 1080p et lui permet de rendre le jeu plus fin, plus beau encore qu'il ne l'était déjà, tandis que les 60 fps lui offrent logiquement davantage de fluidité.

4) DURÉES : / A : 2h / B : 2h30 / C : 5h30

5) TROPHÉES À 100% : 2/10

6) : PEGI 7 / 3 Go / Rien / Solo, et Multi jusqu'à 2 Online

Annotation :

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1) NOTES :
- 7/10 par GameKult
- 18/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Des musiques magnifiques et immersives
- De très bons graphismes
- Une mise en scène
- Une prise en main facile
- Une jouabilité intuitive...
- Un véritable conte écologique et poétique
* FAIBLESSES :
- ... qui manque toutefois de précision
- Peut-être un peu court
- Un léger manque de liberté

3) CONCLUSION :
Après un premier titre téléchargeable sur le PlayStation Store nommé flOw, le studio thatgamecompany revient avec Flower, un projet tout aussi atypique. Cette fois-ci, il va falloir jouer les Eole et promener un pétale dans des champs au gré du vent. Les fleurs survolées libèrent à leur tour un pétale qui vient enrichir la longue traîne que l'on dirige plus ou moins directement grâce à la reconnaissance spatiale de la Sixaxis. Que ce soit par ses graphismes très fins, ses magnifiques effets de lumière, sa mise en scène remarquable ou ses musiques inspirées, le titre impressionne, et il se dégage de Flower une certaine poésie de la contemplation, dans la veine de certaines oeuvres troublantes comme Shadow of the Colossus (les colosses en moins). Le gameplay tente d'ailleurs de se mêler harmonieusement à la musique : lorsqu'une fleur éclot, un instrument de musique ajoute une note à la mélodie. Qu'on se le dise : Flower est vraiment un titre enchanteur. Pourtant, aussi charmeur qu'il puisse être, il n'est pas exempt de défauts. Le gameplay a beau être simple et la prise en main totalement intuitive, la maniabilité peut parfois agacer par son manque de précision, et la linéarité relative a de quoi frustrer le joueur en quête d'évasion. Ces deux petits soucis entachent légérement la liberté et la sérénité que doit éprouver le joueur. En outre, l'aventure a beau être belle, elle est aussi drôlement courte, puisque l'on doit se satisfaire de six niveaux. Malgré ces défauts, Flower reste un très beau conte étrange et émouvant, où tout est question de sensation, et que l'on aimerait entendre plus souvent.

4) DURÉES : / A : 2h / B : 2h30 / C : 5h

5) TROPHÉES À 100% : 3/10

6) : PEGI 3 / 1 Go / Rien / Solo

Annotation :

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VR : Compatible

1) NOTES :
- 7/10 par GameKult
- 17/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- La Zone X (et sa musique !)
- L'OST n'a pas pris une ride, exceptionnel
- La VR sublime le jeu original
- Les délires visuels
- Sensations uniques
- Les boss
- Et sinon, on vous a dit que la musique déchirait ?
* FAIBLESSES :
- Trop vite plié
- Rejouabilité trop légère
- Difficulté revue à la baisse en Standard
- Techno, électro, on aime ou pas
- Les cervicales en Zone X

3) CONCLUSION :
Rez Infinite vaut-il vraiment le coup quand on connaît l'original par coeur ou qu'on souhaite simplement le découvrir ? Au tarif de lancement (29,99 €), la question mérite d'être posée, car le contenu bonus comme la durée de vie ô combien éphémères viennent assez vite contrebalancer l'excitation des premiers émois. En revanche, si vous êtes en quête d'une expérience aussi soignée que réussie pour valider la récente acquisition de votre PlayStation VR, le choix ne fait plus de doute, tant le Remaster sublime les qualités d'immersion en vous plongeant directement dans la matrice. Le gameplay sur rails peut paraître figé, mais le temps d'un aller simple dans la Zone X et de quelques combats de boss qui vous enveloppent littéralement, Rez retrouve illico une seconde jeunesse.

4) DURÉES : / A : 2h / B : 2h30 / C : 13h30

5) TROPHÉES À 100% : ?

6) : PEGI 7 / 1 Go / Màj PS5 pour le PS VR2 à 10€ / Solo

Annotation :

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1) NOTES :
- 8/10 par GameKult
- 18/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Une mise en scène proche de la perfection
- Excellentes musiques
- Rythme très bien maitrisé
- Doublages impeccables pour une narration poignante d'efficacité
- Et sinon, on vous a dit que la musique déchirait ?
* FAIBLESSES :
- On en redemande : 2 à 3 heures de durée de vie et presque aucune replay value
- Certaines scènes moins explicites que d'autres dans leur dénouement
- Une structure narrative fluide, mais dénuée de liberté et un peu maigre en "à côtés"
- Quelques soucis d'optimisation

3) CONCLUSION :
Dur de raconter ce qui fait le charme de What Remains of Edith Finch sans avoir peur de trop en dire, de révéler une essence qui doit être vécue pour prendre au corps. Une chose est sûre : Giant Sparrow a monté le niveau d'un cran depuis The Unfinished Swan et leur nouvelle production fait bondir en avant le jeu narratif à la première personne, sans renier son héritage. Etonnante de bout en bout et pleinement ancrée dans son média, cette plongée dans les histoires (extra)ordinaires de la famille Finch fait mouche sur presque tous les plans. Une promenade poignante convoquant autant Gone Home que Big Fish ou Les Contes de la Crypte, à ne rater sous aucun prétexte si vous aimez les pochettes surprises, l'exploration à tiroirs et les récits aux frontières de la réalité.

4) DURÉES : / A : 2h / B : 2h30 / C : 3h

5) TROPHÉES À 100% : 1/10

6) : PEGI 16 / 6 Go / Màj PS5 Gratuite / Solo

Annotation :

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VR : Uniquement

1) NOTES :
- 8/10 par GameKult
- 17/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Le concept totalement sublimé en VR
- Sentiment de puissance unique
- Gestion mouvement/temps parfaite
- Précis et pensé pour l’improvisation
- Toujours ce design visuel et sonore
- Pas un mode VR, un autre jeu
- De chouettes situations
- Une idée de gameplay réellement innovante
- Du fun immédiat
- Une direction artistique réussie
- Des sensations incroyables
- Le level design au poil
* FAIBLESSES :
- Un peu trop cher
- On aperçoit rarement les limites du concept
- Pas très long
- Le lancer d'objet manque un peu de précision
- Des checkpoints au sein des niveaux n'auraient pas été de trop

3) CONCLUSION :
SUPERHOT VR, c'est le jeu qui fera frissonner tous les Star Wars kids devenus trentenaires. Ceux qui s'enfermaient dans leur chambre pour y faire des moulinets de bras et des esquives nulles en se prenant pour un héros de film hongkongais. Loin des expériences apéritives vouées à faire rêver les potes et puis basta, c'est un jeu qui mérite de se faire d'une traite, seul chez soi, avec le son à fond. Vous en ressortirez moites, avec la désormais classique marque des lunettes de ski, mais dopé à un sentiment de surpuissance tout à fait unique. Vous aurez courbé le temps, évité les balles et vu la série B de l'intérieur, là où elle est forcément prenante. Il vous en aura évidemment coûté trop cher, surtout si vous croyez au décompte du prix en heures de jeu. Mais vous aurez goûté au tout meilleur de ce que la première génération de jeux Oculus Rift a à offrir. Difficile de faire plus régressif et si cool tout à la fois.

4) DURÉES : / A : 2h / B : 3h / C : 6h30

5) TROPHÉES À 100% : ?

6) : PEGI 12 / 3 Go / Rien / Solo

Annotation :

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VR : Uniquement

1) NOTES :
- 6/10 par GameKult
- 12/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Le travail sur les ambiances
- Les jump scares efficaces
- Une visée assez précise
- Une immersion réussie
- Bonne utilisation des fonctionnalités VR
- Prise en main immédiate à la manette ou aux PS Move (recommandés)
* FAIBLESSES :
- Les loadings juste après le départ
- Quasiment plus le droit à l'erreur sur les boss
- Pas folichon techniquement
- Pas vraiment de raison d'y revenir une fois l'effet de surprise dissipé
- De la peur trop facile
- Aliasing assez prononcé

3) CONCLUSION :
Des sursauts faciles et un gameplay simple mais efficace : Until Dawn : Rush of Blood ne sort pas des rails du train fantôme comme on en croise dans les fêtes foraines mais il entretient tout de même le malaise avec des visuels bien crados et l'esprit torturé cher à la néo-licence. Comme c'était le cas avec le jeu d'origine, Supermassive Games s'est clairement fait plaisir en jouant la carte de la surenchère gore, et les petits effets visuels cramés à dix bornes gagnent forcément en impact quand on s'y immerge totalement, la lumière éteinte, le casque sur les oreilles et les portes sont fermées à double tour. En outre, si la partie graphique met à nouveau en lumière le déficit de puissance et de netteté du PlayStation VR, les astuces visuelles comme le rendu volontairement crado de l'univers s'accordent parfaitement avec le thème abordé. Dommage que le gameplay ne laisse plus trop de marge à l'erreur dans les derniers chapitres, jusqu'à en devenir crispant. Mais c'est peut-être à ce prix que l'on y reviendra pour améliorer son score. A moins qu'il ne s'agisse d'épater la galerie avec son casque flambant neuf, auquel cas Rush of Blood fait aussi le taf.

4) DURÉES : / A : 2h / B : 3h30 / C : 6h30

5) TROPHÉES À 100% : 6/10

6) : PEGI 18 / 14 Go / Rien / Solo et Online

Annotation :

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1) NOTES :
- 8/10 par GameKult
- 16/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Assise artistique incroyable
- L'apport fou de la bande-son par Berlinist
- Des tensions d'une surprenante intensité
- Bon rythme, gameplay classique mais bien inspiré
- Quel incroyable sens du détail
- Une progression très intuitive
- L’animation des cut scenes, la modélisation des niveaux, un chef d’œuvre
* FAIBLESSES :
- Sûrement trop libre à l'interprétation si vous attendiez du narratif
- Sûrement trop clair sur ses métaphores pour d'autres
- Peu d’idées innovantes sur le concept
- Un potentiel narratif pas entièrement exploité

3) CONCLUSION :
La plus grande erreur de GRIS reste de sortir un 13 décembre, après la plupart des remises de prix où il aurait pu coller une honte multicolore à tous les prétendants à la “claque visuelle de l’année”. Campé sur des appuis artistiques d’une brillance rare et divin dans le mouvement, le premier jeu des Espagnols de Nomada Studio brouille comme rarement les lignes entre animation et jeu vidéo. Il enchante, surprend, met en lévitation parfois, tout ça sans oublier de rester jeu. Pas un enfer de boulettes comme son cousin Cuphead, mais un puzzle platformer surréel et curieux, aux mécaniques rodées à défaut d'être révolutionnaires. Une aventure de trois heures savamment rythmée, où le dépaysement est roi et où l'adorable héroïne du jeu est évidemment reine. Étonnamment, le remède contre la sinistrose de cette fin d'année se nomme GRIS.

4) DURÉES : / A : 3h30 / B : 4h / C : 6h30

5) TROPHÉES À 100% : 2/10

6) : PEGI 7 / 5 Go / Màj PS5 Gratuite / Solo

Annotation :

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1) NOTES :
- 8/10 par GameKult
- 17/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Un style magique et envoutant
- Bande son fantastique
- Des énigmes fantastiques
- De jolies trouvailles
* FAIBLESSES :
- Euh... l'histoire ?
- Un peu court
- La fin...
- La progression par l'échec

3) CONCLUSION :
Déjà saisi par des graphismes 2D d'une finesse et d'une poésie rarissimes, Limbo finit de nous cueillir avec sa bande-son subtile et terriblement réussie. L'atmosphère à la fois naïve et cruellement mature qui se dégage du titre de PLAYDEAD est d'une richesse telle qu'on ne se lasse jamais de s'enfoncer dans les méandres de cette réalité monochrome aussi envoûtante que dérangeante. Parsemé d'énigmes complexes et exigeantes, notre périple est souvent brusquement interrompu par des morts soudaines et violentes, pas forcément frustrantes, mais que d'aucuns pourront trouver rébarbatives tant le gameplay est basé sur cette progression par l'échec. En outre, l'absence d'une réelle histoire se fait parfois sentir et peut légèrement troubler notre implication dans l'aventure, surtout lorsque la fin débarque soudainement après seulement quatre heures de jeu. Bref, Limbo a ses imperfections, mais cela ne l'empêche certainement pas d'être un titre attachant, poignant et marquant. Preuve qu'un budget démesuré pour produire une pluie de séquences motion capturées n'est pas forcément le meilleur moyen pour un jeu vidéo d'émouvoir sincèrement.

4) DURÉES : / A : 3h30 / B : 4h / C : 6h30

5) TROPHÉES À 100% : 5/10

6) : PEGI 16 / 1 Go / Rien / Solo

Annotation :

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1) NOTES :
- 8/10 par GameKult
- 19/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Réalisation très élégante
- Un rythme parfaitement ciselé
- Sound design captivant
- L'équilibre exploration/énigmes
- Des thèmes forts
- Un final inoubliable
- Une ambiance sombre, énigmatique et captivante
- Mécaniques de jeu huilées basées sur des énigmes ingénieuses
- Un rythme soutenu, des énigmes qui se renouvellent à chaque instant
- Superbement animé, mis en scène avec élégance, un modèle du genre !
* FAIBLESSES :
- Mini soucis techniques occasionnels
- Et c'est tout !

3) CONCLUSION :
Que les plus sceptiques se rassurent : Inside est supérieur en quasiment tous points à Limbo, que ce soit au niveau de la prise en main, du moteur physique, de la lisibilité ou de la profondeur thématique, pour prendre les exemples les plus pertinents. Malgré le sérieux et la noirceur des idées évoquées de manière subtile tout au long d'une histoire sans mots, on reste happé jusqu'à la dernière minute par le propos inquiétant comme par le gameplay habilement rythmé. Aucune séquence ou énigme n'est laissée au hasard, l'attention aux détails est admirable et on a une bonne raison un peu cachée de refaire le jeu dans la foulée, si ce n'est pas juste pour le plaisir. Une franche réussite qui mérite de figurer en très bonne place dans votre ludothèque.

4) DURÉES : / A : 3h30 / B : 4h / C : 4h30

5) TROPHÉES À 100% : 2/10

6) : PEGI 18 / 2 Go / Rien / Solo

Annotation :

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VR : Uniquement

1) NOTES :
- 7/10 par GameKult
- 18/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Aucun vertige en jouant
- L'implication du joueur dans le scénario
- Synchroniser manette et reconnaissance de mouvements
- La musique aussi discrète qu'élégante
- L'immersion fonctionne aussitôt
- Les rapports d'échelle aussi
- Les animations de Quill vont vous faire fondre
- Les rapports d'échelle et le jeu sur la perspective
- Aussi beau que lisible
- Jouabilité parfaitement calibrée
- Des décors enchanteurs à observer sous tous les angles
- Un double gameplay intuitif et maîtrisé
- Excellente utilisation de la réalité virtuelle
- Des énigmes intelligentes
- Un conte à destination de toute la famille
* FAIBLESSES :
- Énigmes pensées tous publics
- Bien trop court hélas
- Rejouabilité limitée
- Et du coup un poil cher
- Casting d’ennemis peu varié

3) CONCLUSION :
Sony a eu raison de mettre en avant Moss au dernier E3 : souris au milieu des géants, le jeu de Polyarc s'impose sans trembler comme l'un des ambassadeurs du PlayStation VR en ce début d'année. Raffiné, inspirant, il contourne tous les obstacles habituels liés à la réalité virtuelle - nausée, limitations techniques - en imposant une direction artistique de premier ordre et des choix de gameplay qui font mouche. En conséquence, on se retrouve illico plongé dans l'univers de la petite Quill, prêt à dévorer chaque nouveau tableau, chaque nouvelle énigme, comme un gros bout de fromage. Dommage que le projet se limite une fois encore à quelques heures d'enchantement, car on a déjà hâte de découvrir la suite de cette aventure aussi extraordinaire qu'éphémère.

4) DURÉES : / A : 4h / B : 4h30 / C : 6h30

5) TROPHÉES À 100% : 2/10

6) : PEGI 7 / 13 Go / Màj PS4 Pro Gratuite et PS5 pour le PS VR2 à 24€ / Solo

Annotation :

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1) NOTES :
- 7/10 par GameKult
- 15/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Ambiance et univers travaillés
- Beau boulot sur le son et la lumière
- Du rythme et de la variété
- Esthétique superbe
- L'absence de répétitivité
* FAIBLESSES :
- Des chutes liées à la caméra
- Soucis avec le comportement des ennemis et de Six
- Narration très (trop?) cryptique
- Quelques choix de level design discutables
- Très court, il nous laisse sur notre faim

3) CONCLUSION :
Moins fascinante et peaufinée qu'Inside mais plus captivante et mieux rythmée qu'Unravel, la proposition horrifico-plateformesque de Tarsier Studios est un petit bijou d'ambiance et de malaise qui aurait mérité une taille un peu plus soignée. Souvent habité mais parfois malhabile dans son exécution, Little Nightmares arrive tout de même à captiver l'imaginaire pendant toute sa courte escapade en milieu hostile, à quelques frustrations près. On y plonge pour le (dé)plaisir des yeux et des oreilles, on y reste pour comprendre ses ténèbres et on en sort attiré par la lumière, même si elle n'éclaire pas tous les arcanes du jeu.

4) DURÉES : / A : 3h30 / B : 4h30 / C : 7h

5) TROPHÉES À 100% : 3/10

6) : PEGI 16 / 3 Go / Màj PS4 Pro Gratuite / Solo

Annotation :

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1) NOTES :
- Non testé par GameKult
- Non testé par JeuxVideo.Com
- 6/10 par JVfrance
- 8/10 par Lesoir.Be

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Une ambiance asiatique bien marquée
- Des joutes accessibles pour tous les âges
- Visuellement très propre
- Présence d’un mode aventure (coop / solo)
- Une bande-son réussie
- Fun à plusieurs
- La possibilité de créer ses propres règles
- Une cinquantaine de mini-jeux
- Jouable à quatre en local
- Le mode Aventure, plaisant même en solo
- Pas mal d'éléments cosmétiques à débloquer
* FAIBLESSES :
- Scénario trop sérieux
- 50 mini-jeux : on en fait vite le tour
- Pas d’équivalent au plateau de Mario Party
- Pas assez crétin… BWAAH !
- Pas de mode online
- Certains mini-jeux en deçà
- Des contrôles pas toujours très précis
- Pas de mode de jeu alternatif

3) CONCLUSION (de JVfrance) :
The Lapins Crétins: Party of Legends est sans aucun doute un titre sur lequel il faudra compter pour vos futures soirées gaming. Très accessible grâce à son gameplay d’une extrême simplicité, il permettra à tous les joueurs même les occasionnels de passer un très agréable moment. Si l’éditeur français a eu l’excellente idée d’inclure un mode Aventure (en solo ou en coop) qui retrace avec un semblant de scénario l’ensemble des mini-jeux disponibles, force est d’admettre qu’au vu de la concurrence sur Nintendo Switch le contenu est encore trop léger. Avec seulement 40 épreuves, des Lapins trop sages qui manquent de folie, une détection approximative des mouvements et l’absence d’un équivalent au plateau de Mario Party, The Lapins Crétins: Party of Legends perd en intérêt malgré des qualités indéniables. En somme, un premier essai marqué mais pas transformé, la faute à un manque d’ambitions certain.

4) DURÉES : / A : 3h / B : 5h / C : ?

5) TROPHÉES À 100% : ?

6) : PEGI 7 / 5 Go / Rien / Solo, et Multi jusqu'à 4 en Local

Annotation :

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VR : Uniquement

1) NOTES :
- 6/10 par GameKult
- 16/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- La complicité entre les membres de la famille Marks
- Un jeu VR avec des moyens
- Cinétose ? Jamais entendu parler
- Ces petits riens qui fonctionnent grâce à la VR
- S'approprier l'espace et se mettre à couvert pour de vrai
- Très souvent spectaculaire
- Diablement immersif
- Rythmé, varié, nerveux et amusant
- L'hommage aux films d'action pure
- Animations des visages et des corps particulièrement soignées
* FAIBLESSES :
- Donc ton jeu AAA, c'est comme Time Crisis en fait ?
- Système de rechargement immersif mais parfois hasardeux
- On avait encore de la place pour quelques missions
- Des problèmes de tracking qui créent quelques ratés
- Visée pas toujours très précise, surtout lors de l'emploi des fusils à lunette
- Scénario plutôt convenu
- On aurait aimé des cinématiques plus interactives
- Nettement moins agréable à la manette (PS Move plus que recommandés)

3) CONCLUSION :
Exprimer une opinion tranchée sur l'expérience Blood & Truth s'avère curieusement plus complexe que prévu, peut-être parce que la réalité virtuelle continue de fasciner par son pouvoir immersif unique et d'interroger sur les limites qu'elle génère. Dans sa réalisation, sa mise en scène et son rythme général, la production de London Studio justifie une grosse partie de ses prétentions. Si on peut le percevoir de l'extérieur comme un rail shooter amélioré qu'on aurait greffé autour d'un bon petit récit pop-corn, c'est une fois la tête dans le casque qu'on reçoit de plein fouet un spectacle d'une telle intensité et d'un tel engagement qu'on voudrait lui pardonner ces moments où l'on ne parvient pas à ses fins. Pour des raisons techniques et peut être aussi parce que notre acuité n'était pas à la hauteur, il arrive que la bobine du film bafouille et gâche une immersion pourtant si bien travaillée. Évoluant finalement dans son propre genre, celui du FPS chorégraphié, Blood & Truth est un candidat méritant qui a fait le nécessaire pour gagner sa place dans votre catalogue PS VR, mais dont l'exécution n'est peut-être pas aussi infaillible et millimétrée qu'on l'aurait souhaitée.

4) DURÉES : / A : 5h / B : 6h30 / C : 10h

5) TROPHÉES À 100% : ?

6) : PEGI 16 / 34 Go / Rien / Solo

Annotation :

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Les 4 jeux Trine sont sur un même BluRay issue de l'édition "Trine Ultimate Collection".

1) NOTES :
- 7/10 par GameKult
- 16/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Joli
- Ambiance maîtrisée
- Un mélange réussi d'action, de plate-forme et de puzzle
- Une recette qui se renouvèle sans cesse
- Le coop inévitablement fun
* FAIBLESSES :
- Quelques ratés techniques
- Durée de vie minimaliste
- Faut aimer les squelettes
- La partie JdR un brin limitée

3) CONCLUSION :
Trine, c'est la combinaison entre trois gameplay relativement classiques que l'on devra vivre grâce aux forces complémentaires et adaptées de trois héros partis à l'aventure dans un très joli monde heroic fantasy. Qu'il s'agisse de bondir un peu partout avec la voleuse, de tabasser tout ce qui passe avec le guerrier ou de faire fonctionner ses méninges et son sens de la logistique avec le mage, on ne s'ennuie jamais dans le nouveau bébé de Frozenbyte. A un point tel, d'ailleurs, que l'on ne verra vraiment pas passer les quatre petites heures de sa ridicule durée de vie. Le titre semblera peut-être un peu léger à certains avec son bestiaire répétitif et sa partie JdR survolée, mais les développeurs s'en tirent quand même avec brio grâce à un level design aussi sadique qu'inspiré et une représentation très réussie de l'univers du jeu, malgré quelques inégalités côté réalisation sur PS3. Sans oublier le jeu multijoueur en coopératif, qui est étrangement réservé au jeu local mais indéniablement jouissif, bien qu'un brin trop facile, une fois lancé.

* Cette version de Trine Enchanted Edition est un remaster, qui intègre un multijoueur en ligne ainsi que la possibilité de sauvegarder sa partie en plein milieu du niveau, en plus de réutiliser le moteur de Trine 2 qui est un bénéficie sur le plan graphique et physique du jeu.

4) DURÉES : / A : 5h / B : 6h / C : 10h30

5) TROPHÉES À 100% : 4/10

6) : PEGI 12 / 1 Go / Màj PS4 Pro Gratuite / Solo, et Multi jusqu'à 3 en Local et Online

Annotation :

.
Les 4 jeux Trine sont sur un même BluRay issue de l'édition "Trine Ultimate Collection".

1) NOTES :
- Non testé par GameKult
- 18/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Beau à tomber par terre
- Univers toujours aussi enchanteur
- Énigmes originales et bien pensées
- Grande variété de décors et d'atmosphères de déplacement
- Exploitation réussie de la profondeur
- Les mini-chapitres dédiés à chacun des personnages (hors tuto)
- Le travail d'orfèvres sur le level design
- Bande originale impeccable
- Intervention des personnages souvent drôles
- VO et VF de qualité
* FAIBLESSES :
- La fin de l'arbre des compétences des personnages
- Un peu moins de challenge que par le passé
- Pouvoirs de Pontius quasi-dispensables

3) CONCLUSION :
Nous relèverons que très peu de faux pas dans ce Trine 3. Si nous pouvons regretter l'absence d'arbre de compétences pour les personnages et même ressentir une petit sensation de manque de challenge et une inventivité sensiblement amoindries des puzzles en ce qu'ils font moins appel au panel de compétences de trois protagonistes, difficile de bouder son plaisir face à ce qui s'impose à nouveau comme une véritable pépite du puzzle platformer. Fun, enchanteur, original et diablement inspiré, Trine 3 vous emmène vers un émerveillement permanent, gavé d'environnements tous plus somptueux les uns que les autres, secondés par une bande originale en tout point impeccable. Ajoutez à cela une véritable créativité dans la construction du puzzle, et vous comprendrez que vous tenez en vos mains un titre tout simplement incontournable, que vous aimiez ou non la saga ou les jeux de plates-formes en général. Bien joué, Frozenbyte.

4) DURÉES : / A : 5h / B : 6h / C : 7h

5) TROPHÉES À 100% : 2/10

6) : PEGI 12 / 2 Go / Màj PS4 Pro Gratuite / Solo, et Multi jusqu'à 3 en Local et Online

Annotation :

.
1) NOTES :
- 8/10 par GameKult
- 17/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Cinq personnages qui se jouent vraiment différemment
- Gameplay riche et grisant, aux possibilités infinies
- Mécanique de combos excellente, propice à la créativité
- Système de scoring parfaitement étudié, qui pousse à se dépasser
- Sensation d’impact parfaite et bonne gestion des collisions
- L’ADN du jeu de baston intégré avec justesse
- Celui du beat’em up maîtrisé comme jamais
- Comportement des ennemis beaucoup moins frustrant qu’avant
- Armes attrapables en plein vol, du génie
- Des thèmes musicaux qui sortent clairement du lot
- Patte graphique ‘dessin animé’ qui colle bien à Streets of Rage
- Les modes de jeu (Histoire, Arcade, Combat de boss et Duel)
- Jouable de 1 à 4 joueurs en local (à 2 joueurs en ligne)
- Le fan service (post-traitements, galerie, clins d’oeil…)
* FAIBLESSES :
- Score solo et multi mélangé dans les classements
- Encore un peu de recyclage chez les boss
- Personnages classiques assez anecdotiques, finalement
- Nouveautés de level design trop timides
- Où sont les fins et chemins alternatifs ?
- Peu de bonus, par ailleurs vite débloqués
- ...mais une bande son globalement en deçà des deux premières
- Intégration de l’OST rétro parfois maladroite
- Un mode Histoire court, malgré ses 12 stages
- Le système de points pour débloquer les personnages jouables

3) CONCLUSION :
Inattendu, le retour de Streets of Rage en 2020 est une insolente réussite à bien des égards. Pourvu d’un gameplay riche et prenant, d'excellentes sensations d’impact, d’une gestion au poil des collisions mais surtout d’un système de scoring et de combo absolument grisant, ce quatrième épisode solidifie les bases du beat’em up tout en empruntant le meilleur des éléments du jeu de baston, permettant par là-même une créativité jamais vue dans un jeu du genre. Un coup de génie tout juste entaché par un level design qui ne prend pas assez de risques pour varier la formule, et une bande son moins mémorable qu’auparavant. De même, on aurait voulu plus de bonus à débloquer, la présence de plusieurs fins et davantage de nouveautés. Mais en l’état, le coeur même de la licence est respecté à la lettre et sa formule magnifiée. Difficile de faire la fine bouche, non ?

4) DURÉES : / A : 3h / B : 6h30 / C : 27h30

5) TROPHÉES À 100% : 7/10

6) : PEGI 12 / 7 Go / Màj PS4 Pro Gratuite / Solo et Multi jusqu'à 4 en Local et 2 Online

Annotation :

.
1) NOTES :
- 5/10 par GameKult
- 14/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Un gameplay infiltration/action bien équilibré
- Techniquement acceptable
- Une I.A. renforcée
- Une envie d'en savoir plus sur le futur MGS V
- Une refonte de gameplay qui le rend + moderne et + accessible
- Mise en scène saisissante
- Difficulté moins punitive qu'avant
- Un OW au potentiel bien réel : exploration, véhicules, cycle jour/nuit et météo
- Un contenu qui plaira aux amateurs de scoring et aux adeptes de fan-service
- Kiefer Sutherland fait un Big Boss très convaincant
* FAIBLESSES :
- Contenu gravement insuffisant
- Aucun moment de bravoure, les missions annexes sans intérêt
- Trop court en termes de narration : seulement 2 objectifs pour boucler la mission scénarisée et 3 cut-scenes
- Des soucis de réalisation : le camp Oméga, très beau de nuit et sous la pluie, demeure bien fade de jour au niveau des éclairages et des textures
- Un gameplay modernisé qui perd beaucoup de son charme d'antan : l'infiltration n'est plus une nécessité absolue
- L'amère sentiment que Kojima a dû séparer Ground Zeroes de Phantom Pain et gonfler artificiellement son contenu pour le rendre bankable
- Un open world assez limité

3) CONCLUSION :
Tout dans Ground Zeroes, sinon le gameplay, peine à emporter l'adhésion espérée quand on accueille un épisode canonique de Metal Gear Solid, ce qui laisse songeur quant à la nécessité, ou même l'opportunité, d'avoir sorti ce DLC anticipé. Que l'on ne s'y trompe pas : cela reste une bonne démo, un amuse-gueule pour apaiser l'attente des fans, mais rien n'y figure qui saurait faire passer l'expérience pour autre chose qu'un foutage de gueule aux yeux de ceux qui ont lâché quasiment trente euros dans l'affaire. On est loin, naturellement, de la démo jouable de MGS2, offerte, qui était de surcroît meilleure à tous points de vue. Reste que l'aura de la série rayonne toujours derrière la frustration d'un contenu trop chiche, preuve aussi que Ground Zeroes n'est pas totalement passé à côté de son sujet, et qu'au bout du compte, l'envie de découvrir MGSV sort sensiblement renforcée de ces deux heures de promenade. C'était sans doute le but de la manœuvre, mais ce n'était ni discret ni subtil.

4) DURÉES : / A : 4h / B : 7h / C : 9h

5) TROPHÉES À 100% : 2/10

6) : PEGI 18 / 4 Go / Rien / Solo

Annotation :

.
1) NOTES :
- 8/10 par GameKult
- 16/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Casting impeccable et excellentes performances des comédiens
- L'impression de découvrir par soi-même
- L'intelligence de la recherche
- Aucune session ne ressemble à une autre
- Sous-titres en VF dynamiques
- Richesses du cadre
- Motif du voyeurisme à plusieurs dimensions
- Récit dense et complexe
- Gestion maligne du hors-champ
- Le joueur est constamment impliqué dans la narration
- Une interface immersive...
- Une très bonne mise en scène grâce aux smartphones...
- Une construction de personnage exemplaire
* FAIBLESSES :
- Le temps paraît long à la vue de quelques séquences
- Le rembobinage et l'avance rapide parfois laborieuse
- ...qui n'apporte rien de plus que Her Story
- ...mais un rendu visuel un peu trop propre pour être vrai

3) CONCLUSION :
Fascinant jeu de miroirs qui se vit à partir d’une base de données, Telling Lies orchestre une foule de points de vue sans donner raison à l’un ou à l’autre. Brillante dans sa construction scénaristique, la nouvelle production de Sam Barlow aurait mérité un plus grand confort de lecture, mais cette réserve ne pèse pas lourd face au bouillonnement de la recherche, à la performance d’un casting trois étoiles. Esquisse de solitudes qui s’ignorent et d’amours qui se cherchent, Telling Lies n’est pas seulement le plus beau visage de la full motion video, il est aussi l’un des meilleurs jeux d’enquête du marché.

4) DURÉES : / A : 4h / B : 7h / C : 9h

5) TROPHÉES À 100% : 2/10

6) : PEGI 16 / 8 Go / Rien / Solo

Annotation :

.
1) NOTES :
- 8/10 par GameKult
- 17/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Si sévère, mais si juste
- Mécaniquement intouchable
- Boss variés, bonnes idées partout
- Hyper engageant et dynamique
- Les Avengers de la synthwave sur l'OST
- La DA et l'ambiance subsistent malgré l'exécution visuelle
- Modes Furier et speedrun pour les vrais
- Doublages japonais, anglais, français
- Prise en main hyper intuitive
- Le niveau de difficulté qui a un impact sur les patterns des boss
- Le système de vies des boss et du héros
* FAIBLESSES :
- Techniquement en retrait
- Les fans de gros scénarios feront chou blanc
- Un poil cher pour qui boudera le mode Furier
- Les passages entre les combats

3) CONCLUSION :
Comme dirait mon ami Kamui "qu'il est bon de jouer à un jeu de fanboys qui ne pue pas le brochette boeuf-fromage". Et tout est plus ou moins dit, en fait. Des neuf boss de Furi, on retient de longues périodes d'humiliation, des instants de grâce suspendus dans le temps, des poings levés au ciel et l'impression d'avoir tout donné à chaque fois. Mais dans le jeu de The Game Bakers, il y a aussi les quelques pas que vous irez faire au dehors entre deux tentatives, cette soirée en société à penser au combat de la veille et ce petit frisson terrifié au moment d'y retourner à froid. Bien sûr, il a ses défauts : pas toujours une gueule de porte-bonheur malgré son chouette chara design, et son scénario alambiqué reste globalement en retrait. Mais ses mécaniques parfaitement inspirées et huilées, son sens du coup qui touche et l'élégance avec laquelle il pulvérise l'ego n'ont que très peu de pareil. Belle mandale, jolie cacahuète ou petite bombe selon votre champ lexical, Furi est un jeu pour les masochistes convaincus et pour ceux qui se sont toujours soupçonné un penchant sans jamais trouver le bon Maître.

4) DURÉES : / A : 5h30 / B : 7h30 / C : 15h30

5) TROPHÉES À 100% : 7/10

6) : PEGI 16 / 5 Go / Màj PS5 Gratuite / Solo

Annotation :

.
1) NOTES :
- 7/10 par GameKult
- 16/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Le pixel art coloré et viscéral
- De l’action frénétique...
- ...autant que cérébrale
- Un énorme potentiel de rejouabilité
- Des armes par dizaine, pour autant de possibilités
- Les masques d’animaux pour personnaliser son gameplay
- La narration bien barrée
* FAIBLESSES :
- Des plantages épiques
- Les autres bugs, peu fréquents mais contrariants
- Les options rachitiques
- Clavier français proscrit
- Gamepad non fonctionnel

3) CONCLUSION :
Malgré sa vue top-down et ses missions données par téléphone interposé, il serait réducteur de considérer Hotline Miami comme un simple clone des premiers GTA. L’hommage est certes évident, mais son ultra violence va bien au-delà, son scénario est plus torturé et son gameplay s'avère ingénieux, débridé et unique. Son mélange de puzzle et d’action sanglante en fait un die-and-retry exigeant pour adultes avertis, qui ne plaira pas à tout le monde mais satisfera pleinement les joueurs se plaignant des titres trop simples, parcourus le cerveau en veille. Une mise en garde toutefois : une utilisation prolongée risque d’échauffer les sangs et il sera plus prudent de jouer avec une bassine d’eau glacée à portée de main pour y plonger la tête régulièrement histoire de faire retomber la pression. Dommage donc qu’il soit parfois entaché de bugs bruts de décoffrage, qu’on espère voir résolus au plus vite.

4) DURÉES : / A : 5h / B : 7h30 / C : 15h

5) TROPHÉES À 100% : 5/10

6) : PEGI 16 / 1 Go / Rien / Solo

Annotation :

.
1) NOTES :
- 7/10 par GameKult
- 18/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Des textures plus nettes, (support de la 4K et +)
- 60 fps pour un gameplay encore plus nerveux
- De l'action qui déboite
- Du bon challenge comme on aime
- Des boss impressionnants
* FAIBLESSES :
- Synchro labiale toujours perfectible
- Quelques légers ralentissement lors des cinématiques
- Trop de recyclage
- 6 à 7 heures pour la fin
- A quoi servent les portes ?

3) CONCLUSION :
Vanquish est au TPS ce que Bayonetta était au beat'em all : un bon coup de pied au cul. Avec ce titre hyper nerveux voire bourrin, PlatinumGames montre que les Japonais sont capables de donner le change aux grosses productions occidentales, en offrant une mobilité et un dynamisme rarement vus à ce niveau. Un arsenal qui claque, des situations bien pensées, des boss hyper impressionnants et une réalisation au top, qu'exiger de plus ? Une vraie durée de vie ? Oui, l'extase Vanquish nous la joue précoce. Bouclé en six heures à peine, le temps d'affronter deux à trois fois les mêmes boss, le titre de Sega ne peut même pas faire valoir l'argument d'un multijoueur planqué pour doper la durée de vie. Certes, on peut toujours jouer pour le score et les challenges, et de ce côté-là il y a du répondant. Mais on en vient fatalement à se demander si PlatinumGames n'a pas une nouvelle fois privilégié la forme au détriment du fond.

4) DURÉES : / A : 6h / B : 8h / C : 17h

5) TROPHÉES À 100% : ?

6) : PEGI 18 / 19 Go / Màj PS4 Pro Gratuite / Solo

Annotation :

.
1) NOTES :
- 6/10 par GameKult
- 17/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- La cohérence entre les thèmes et les mécaniques
- Gestion audacieuse de l'échec et de la sauvegarde
- Difficulté dynamique et modifiable à la volée
- La concentration bien intégrée
- Boulot admirable sur toute la partie sonore
- Réalisation et direction artistique bluffantes
- Le cadre mythologique, extrêmement riche et renseigné
- Une mise en scène prenante et originale qui nous fait passer par toute une palette d’émotions
- Superbe performance de l’actrice Melina Juergens dans le rôle de Senua
- Un bon dosage entre exploration, énigmes, combat
* FAIBLESSES :
- L'écriture en fait souvent des caisses
- Objectifs peu variés et soucis de level design
- Pas moyen d'accélérer ou de passer les scènes déjà vues
- Énigmes, ennemis et combats redondants
- Certaines « énigmes runiques » dont on se serait volontairement passé
- Un aspect technique parfois perfectible (quelques bugs de caméra, d’animation et de stabilité)

3) CONCLUSION :
Aussi courageux et imparfait que son personnage central, Hellblade montre qu'il y a effectivement une place à prendre entre les jeux indés modestes portés par le bouche à oreille et les titres à gros budget sortant au bras d'une campagne marketing démesurée. Plus qu'intriguant dans ses premières heures, soutenu sur la longueur par une imbrication maligne des thèmes et mythes abordés aux mécaniques de gameplay, le nouveau Ninja Theory se heurte néanmoins aux sédiments de la routine ainsi qu'à une poignée de situations bancales qui émoussent la solide proposition initale. Peut-être aurait-il gagné en intensité sur un format encore plus condensé, bien que le nombre d'heures nécessaires pour le finir ne soit déjà pas si élevé en fin de compte. Toujours est-il que la représentation aussi forte que nuancée des troubles mentaux de Senua, couplée à une direction artistique visuelle et sonore de haute volée, forme une aventure singulière qui ne laisse pas de marbre.

4) DURÉES : / A : 7h30 / B : 8h / C : 9h

5) TROPHÉES À 100% : 3/10

6) : PEGI 18 / 23 Go / Màj PS4 Pro Gratuite / Solo

Annotation :

.
La partie Solo du jeu est vraiment intéressante.

1) NOTES :
- 5/10 par GameKult
- 17/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Liberté de mouvement toujours présente
- Dualité pilote / mecha conservée
- Quelques bonnes idées dans le solo
- Tout le contenu à venir avec le jeu de base
- Un gameplay à la verticalité exacerbée, ultra dynamique et jouissif
- Une aventure solo plutôt réussie, sans temps morts, parfois drôle, et doté de très bonnes idées de gameplay
- Un renfort efficace en matière de contenu au niveau du multi (armes, équipements, customisation esthétique, capacités, classes de titans).
- Une bonne sensation de progression sur le long terme
- Certains modes de jeu : Bounty Hunt, Last Titan Standing, Amped Hardpoints…
- Pas de Season Pass et du contenu gratuit prévu côté support à court et moyen termes
- Un mode Coliseum intéressant pour le 1V1 mais qui aurait mérité d'être plus poussé
* FAIBLESSES :
- Bien moins dynamique qu’en 2013
- Level Design banalisé
- La DA pas toujours inspirée
- Netcode qui toussote par moment
- Techniquement moyen
- FOV non réglable
- Le moteur graphique commence à dater malgré de beaux panoramas (enchaînements des animations un peu trop brutes, certaines maps un peu vide et parfois ternes)
- Des IA un peu limitées dans le mode solo (surtout lorsque l’on joue la carte de l’infiltration et de la furtivité)

3) CONCLUSION :
Alors qu’il aurait dû enfoncer le clou et pousser le concept de nervosité à l'extrême, Titanfall 2 semble faire tout l’inverse, rétrograde de quelques vitesses et propose une expérience à la fois plus molle et plus générique. L’affaire aguichera très certainement les fans de FPS à rythme plus lent, vers lequel il lorgne sans vergogne, mais le jeu sera loin de faire vibrer les amateurs d’intensité qu’étaient les fans du premier épisode. Technique limitée et direction artistique pas toujours au niveau ne viendront guère égayer un tableau souvent trop morne et les quelques franches bonnes idées de son solo sont bien trop vite éliminées de l’équation, au profit d’une enfilade de situations sans challenge ni implication du joueur. A trop vouloir plaire au plus grand nombre, ce Titanfall 2 a malheureusement laissé sur le bord de la route ce qui faisait son identité et qui donnait à son prédécesseur son chien tout particulier.

4) DURÉES : / A : 6h / B : 8h / C : 15h30

5) TROPHÉES À 100% : 7/10

6) : PEGI 16 / 34 Go / Màj PS4 Pro Gratuite / Solo, et Multi jusqu'à 16 Online

Annotation :

.
VR : Uniquement

1) NOTES :
- 8/10 par GameKult
- 17/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Une utilisation maline et pertinente de la VR
- Très joli et attachant
- Une recette simple qui sait se renouveler régulièrement
- Les combats de boss, très amusants
- Un travail sur les perspectives qui renforce l'immersion du joueur
- Des instants de grâce
- Aucun soucis de cinétose
- L'intelligence du level design
- L'implication totale du joueur
* FAIBLESSES :
- Quelques angles de caméra mal pensés
- Bande son pas spécialement bonne
- Peut-être un peu court (entre 4 et 6 heures en ligne droite)
- On aurait aimé encore plus de gadgets
- Le challenge se trouve surtout dans la partie annexe

3) CONCLUSION :
Lucky's Tale faisait office de pionnier, Moss de toile de maître : Astro Bot : Rescue Mission pourra lui se targuer d'être le 1er grand classique en matière de plates-formes 3D passée à la réalité virtuelle. Le futur mètre-étalon d'un genre qui a tout compris à la gestion de l'espace à 360° et aux possibilités offertes par le PlayStation VR, sans pour autant sacrifier le gameplay sur l'autel de l'immersion. Les soucis classiques de nausée et d'imprécision ne sont plus que de lointains souvenirs dans un jeu qui prend la peine de multiplier les feedbacks sonores, tactiles et visuels pour capter le joueur d'un bout à l'autre de l'écran sans jamais lui faire perdre le fil. Peut-être que le titre aurait gagné à être encore plus riche sous certains aspects, notamment au niveau des gadgets disponibles, car la formule reste sans doute un peu trop sage dans les mécaniques, public-cible oblige. Mais cela fait bien longtemps qu'on n'a pas vécu une expérience où la moindre minute passée est synonyme d'enchantement.

4) DURÉES : / A : 7h / B : 8h30 / C : 13h30

5) TROPHÉES À 100% : 4/10

6) : PEGI 7 / 10 Go / Màj PS4 Pro Gratuite / Solo

Annotation :

.
1) NOTES :
- 7/10 par GameKult
- 14/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Souvent hilarant à plusieurs
- Des situations variées et rocambolesques
- Contenu correct pour le style (30 niveaux, objectifs de temps et conditions bonus)
- Assez touffu pour satisfaire les complétistes
- Nombreuses options d'accessibilité pour faciliter le jeu pour tous
- Une physique des objets bien maitrisée
* FAIBLESSES :
- Fort dispensable en solo
- Perspectives parfois trompeuses, visuellement parfois brouillon
- Maniabilité qui manque parfois de précision
- On aurait aimé une dimension coop / communication plus poussée
- Des objectifs de temps parfois difficilement réalisables à deux
- Pas de mode en ligne
- L'humour à base de flatulences, c'était pas obligé
- Une bande son pop assez quelconque

3) CONCLUSION :
Que l'on soit breton ou pas, tout le monde peut être un bon déménageur dans Moving Out. Ou le pire. Celui qui n'écoute pas son équipe, qui jette les cartons dans le camion sans penser qu'il y aura un lit et un frigo à y caler. Mais c'est ça, l'esprit de Moving Out. Suffisamment équilibré pour que le petit frère peu habile s'y retrouve, et suffisamment exigeant pour que les plus énervés de la médaille d'or puissent try hard le 100%, ce titre peut sans gêne accompagner une soirée apéro avec la famille ou des amis. On rit, on s'engueule, on rage d'arracher une médaille d'or sur le fil et, surtout, on a ce sentiment du travail bien fait. Voilà qui donnerait presque envie de déménager.

4) DURÉES : / A : 5h / B : 8h30 / C : 13h

5) TROPHÉES À 100% : 3/10

6) : PEGI 3 / 1 Go / Rien / Solo, et Multi jusqu'à 4 en Local

Annotation :

.
VR : Compatible

1) NOTES :
- 7/10 par GameKult
- 17/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- La finition exemplaire du jeu sur tous ses aspects
- Vraiment beau, même sur PS4 normale
- Les nouvelles mécaniques rafraîchissent la formule
- Un peu plus égalitaire entre nouveaux et anciens
- Les petits nouveaux globalement tous réussis
- Gouki, bonne passerelle quand on vient de Street Fighter
- Le jeu en ligne classique mais sans lag
- Peu de DLC et pas forcément essentiels
- Le jukebox spécial Gautoz
- Un mode Histoire bien fichu...
- Des combos toujours aussi agréables à sortir, notamment grâce à l'excellent sound-design du jeu
- Les Power Crush
- 36 personnages jouables : difficile de ne pas trouver le sien
- La customisation de personnage
* FAIBLESSES :
- Le mode histoire, mou, et qui ne conclut rien
- Aucun tutoriel, défi, ou mission pour apprendre à jouer
- Un portage sans surprises
- ... mais trop bavard
- Sans être laid, Tekken 7 aurait vraiment pu être plus joli
- Manque clairement de contenu, certains modes de jeu hors-ligne, des classique du genre, manquent à l'appel

3) CONCLUSION :
Tekken 7 fait fi des modes du moment et assume fièrement ce qu’il est : un grand jeu de combat, sans bonus ni fioritures. Chose rare dans le jeu vidéo, voici qu’un développeur préfère finir son jeu plutôt qu’ajouter des features et des modes de jeu à lister au dos de la boîte. Beau, agréable à jouer, capable de se renouveler aussi bien dans les mécaniques de jeux que les personnages, il n’a comme réels défauts que son mode histoire moyen et la sobriété de son contenu annexe. Cette dernière gênera ceux qui attendent d’un jeu de combat qu’il soit justement plus qu’un jeu de combat. Les autres y verront le choix de la raison et la marque d’un grand jeu fait par et pour ceux qui y jouent.

4) DURÉES : / A : 3h30 / B : 8h30 / C : 19h

5) TROPHÉES À 100% : 3/10

6) : PEGI 16 / 55 Go / Màj PS4 Pro Gratuite / Solo, et Multi jusqu'à 2 en Local et 8 Online

Annotation :

.
VR : Compatible

1) NOTES :
- 8/10 par GameKult
- 17/20 par JeuxVideo.Com

2) FORCES et FAIBLESSES :
* FORCES :
- Une bande sonore variée et d'excellente qualité
- Habillage visuel réussi
- Rejouabilité monstrueuse pour les amateurs de scoring
- Immersif en VR, et parfaitement jouable sur une TV classique
- Le mythe brillamment revisité
- Le mode Zone est une bonne idée bien implémentée
- Les défis du mode Effets et la fonction théâtre
* FAIBLESSES :
- Pas de mode multijoueur en ligne ou en local
- Quelques rares effets de caméra désagréables en VR
- La VR sans PS4 pro pique les yeux

3) CONCLUSION :
Plus qu'un classique dépoussiéré, Tetris Effect est l'un des très grands petits jeux de cette fin d'année. Adossée à ce gameplay aussi carré qu'universel, la créativité de Tetsuya Mizuguchi et Enhanced se déplie comme une gorgone. Elle bombarde vos récepteurs d'ondes de joie, vous hypnotise, déhanche son corps serpentin et voilà déjà pris au piège. Dodelinant de la tête, vous enchaînez les doses, toutes les doses, quitte à faire et refaire ce voyage un poil trop court, mais toujours aussi merveilleux à chaque nouvelle boucle. Vous êtes ailleurs et pourtant vous êtes plus là que jamais, toutes les fibres de votre être dédiées au culte de la divine ligne. Tetris Effect a le sourire de Rez, les yeux de Lumines, l'esprit de Child of Eden et ses parents peuvent être très, très fiers.

4) DURÉES : / A : 2h30 / B : 9h / C : 32h

5) TROPHÉES À 100% : 9/10

6) : PEGI 3 / 6 Go / Màj PS4 Pro Gratuite et PS5 PS VR2 à 10€ / Solo, et Multi jusqu'à 4 en Local et 8 Online