Borges justifie la forme de ses Fictions par la puissance d'un texte condensé comparé à celui d'un roman de 500 pages. Je ne suis pas convaincu. Il a des idées brillantes (on pense à Pierre Ménard, auteur du Quichotte, La loterie à Babylone, La bibliothèque de Babel ou Funes et la mémoire), mais elles sont, je trouve, bâclées par une forme laconique qui ne me touche pas. On reste très souvent sur sa faim, dans l'espoir d'un après qui ne vient pas. Je trouve ça triste.
Et puis, je me suis ennuyé sur quelques autres nouvelles de la seconde partie.
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