Critiques de Le Seigneur des porcheries

-IgoR-
9

Ordures

L’Amérique aime ses épopées, destins extraordinaires de héros ordinaires, ses baroudeurs Whitmaniens, ses Kerouac vagabonds, grandes fresques vitales où l’intime se mêle à l’Histoire, où l’anodin...

le 25 mars 2016

50 j'aime

10

Black_Key
9

Bled Ruiner

Encore un verre. Au coeur de la crasse du Whistlin' Dick, des rangées de péquenauds abrutissent les derniers souvenirs hagards des jours passés dans un torrent d'alcool. Ils tentent de noyer sous un...

le 5 août 2016

30 j'aime

16

Kalimera
9

Critique de par Kalimera

Bienvenue à Baker, innommable petite ville des Appalaches où vous pouvez trouver se côtoyant joyeusement ou furieusement selon leur... sensibilité: -des ivrognes noyés dans des tonneaux journaliers...

le 16 avr. 2015

22 j'aime

5

Cherry_Livres
10

Critique par Aaliz

A tous les malchanceux, à tous les marginaux, les laissés-pour-compte, à tous les montrés du doigt, à tous les boucs-émissaires, toutes les têtes-de-turcs, à toutes les victimes de la bêtise et de la...

le 22 févr. 2014

21 j'aime

dagrey
9

Et John Kaltenbrunner plongea la ville de Baker dans l'Apocalypse....

John Kaltenbrunner, un enfant de Baker, en butte à toutes les vexations est au fil des ans animé par une rancoeur de plus en plus tenace. Comment John se vengera-t-il de la communauté qui l'a exclu...

le 20 déc. 2022

15 j'aime

10

Diothyme
9

Critique de par Diothyme

Baker, petite ville de l'Amérique profonde, peuplée de poivrots, de bigotes, de xénophobes et autres bêtes de foire, donne naissance au prodige et personnage principal de cette histoire : John...

le 21 févr. 2011

14 j'aime

2

goummo
9

Le Monde comme une ébourrifante giclure de merde

...ou une imposante satyre aux allures de comédie sociale, sur les bas-fonds d'une humanité des plus dégueulasses. Il est grand temps pour tous de plonger dans ce prodigieux ouvrage, débridé et...

le 1 oct. 2010

13 j'aime

Sergent_Pepper
9

Critique de par Sergent_Pepper

Un roman d'un souffle rare, nihiliste, ravageur, désireux d'en finir avec à peu près tout ce qui fait l'Amérique de la fin du XXe. D'une méchanceté, d'une cruauté et d'un lyrisme colérique peu vus...

le 28 juil. 2013

12 j'aime

2

Ninaintherain
5

Critique de par Nina in the rain

Un jour où blondinette n'était pas là, c'est un de ses collègues qui a pris le relais. Je ne peux plus l'appeler Blondinet depuis Farenheit 2010 où Isabelle Desesquelles avait surnommé son nouveau...

le 26 mars 2012

10 j'aime

4

Alain_Dutot
9

Un livre fou!

Dans ce monde policé, un peu de folie ne nuit pas! Quand je dis "un peu", c'est un euphémisme. Oui, ce livre est complètement foutraque, pas sérieux du tout, décoiffant et désopilant. Je ne vais pas...

le 29 juin 2014

9 j'aime

2