Beyrouth, années 80, vues par une habitante de 70 ans qui y a toujours vécu, veuve depuis très longtemps, traductrice de romans.
C'est plutôt bien écrit, assez original, informatif sur le quotidien difficile des habitants de Beyrouth durant les années de guerre civile. On y trouve de nombreuses citations d'auteurs qui inspirent la narratrice (Pessoa est plusieurs fois mentionné) et quelques réflexions touchantes sur la vieillesse.
Mais trop de digressions encombrent le récit.
Doit pouvoir intéresser (sans plus) tous ceux qui, comme moi, aiment le Liban et sont curieux de sa culture.