Black Mirror
8
Black Mirror

Série Netflix (2011)

Voir la série

Tout à l'heure, demain matin et demain soir : Charlie Brooker ne fait même pas de la science-fiction, au mieux de l'anticipation.

Terrifiant, mais on ne pourra pas dire qu'on n'aura pas été prévenus.

FullMetalJackass
9

Créée

le 11 janv. 2012

Critique lue 373 fois

1 j'aime

Critique lue 373 fois

1

D'autres avis sur Black Mirror

Black Mirror
TheBadBreaker
7

I fear the day that technology will surpass our human interaction

Avant de commencer, je dois dire que je ne savais pas trop quoi penser du concept. Je me demandais s'il était judicieux pour une série de faire des épisodes indépendants les uns des autres, avec...

le 25 nov. 2013

112 j'aime

11

Black Mirror
Liehd
5

En un miroir explicitement

Avant d'appréhender une oeuvre comme Black Mirror, il convient de se poser la question qui fâche : pourquoi un auteur se pique-t-il de faire de l'anticipation ? Réponse : parce que c'est un genre "à...

le 7 mars 2016

104 j'aime

37

Black Mirror
Before-Sunrise
8

L’Homme, ce sac à puces

[critique faite après le visionnage de la première saison uniquement] Black Mirror est une série de trois moyens métrages ayant pour fil rouge l’influence néfaste des medias et des nouvelles...

le 12 oct. 2012

102 j'aime

9

Du même critique

Diablo II: Lord of Destruction
FullMetalJackass
7

Critique de Diablo II: Lord of Destruction par FullMetalJackass

clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic trésor clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic trésor clic clic clic clic clic clic clic clic clic...

le 1 juil. 2010

24 j'aime

3

Suicide, mode d'emploi
FullMetalJackass
6

Trop théorique, pas assez pratique

Déception : ca jacte beaucoup et y'a pas assez de pratique. Ni de dessins ou photos. Ca manque de vécu : franchement, j'aurais espéré trouver une méthodologie du nœud coulant, l'angle buccal optimal...

le 6 janv. 2011

20 j'aime

5

De sang-froid
FullMetalJackass
9

Truman Capote sait écrire

Ou comment un gay drogué urbain branchouille mytho et friqué arrive à te faire baver pendant 300 pages sur la dérive de deux white trash losers dans le sud des US à la fin des années 50. Parce que tu...

le 10 avr. 2011

15 j'aime