Les jeux où il y a une forte chance de casser sa manette (ou son clavier) selon Leon9000

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MAIS PUTAIN JE L'AVAIS PARE LA, CET ENFOIRÉ! SALOPERIE DE JEU DE MERDE!

La patience, le calme, le Shinobi tout ça.

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Et si on parsemait tous les niveaux de fenêtres impossibles à repérer pour le joueur et de tireurs qui peuvent l'atteindre derrière les dites fenêtres?

Et tant qu'à faire dans la prison, vous lui rajoutez des prisonniers kamikazes qui se lèveront au dernier moment. Et puis avec le Perv de Carpenter Brut en fond sonore, aucune raison qu'il perde son calme.


Spoiler : c'était pas une bonne idée.

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Le principe même du jeu est de pousser à la frustration, ce n'est donc pas un défaut en soit mais il est amusant de constater que laisser exploser sa colère en tirant à l'aveuglette sur chaque parcelle de l'écran est parfois plus efficace qu'une approche préparée. Les flics du commissariat s'en souviendront particulièrement...

Ah et puis ce maudit niveau d'infiltration avec cette IA catastrophique et cette caméra tremblotante qui te rend littéralement malade, j'en rage encore!

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Un conseil : ne commencez pas le jeu en mode Difficile. Quand au mode Légendaire, je ne veux même pas en entendre parler. :p

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"Mais j'avais esquivé là, putain!"

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Inutilement punitif et rébarbatif sur de nombreux aspects.

Pour beaucoup, c'est du génie.

Pour moi, c'est de la frustration inutile.

Mais heureusement, l'atmosphère crépusculaire et le plaisir de la découverte fonctionnent malgré tout.

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Le jeu a été une étonnante promenade de santé durant sa globalité.

Et puis il y a eu le boss final...

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-Les égouts.

-Le repaire du Sabbat.

-Le combat contre Ming Xiao et sa horde de sbires.

-L'Ascension interminable de la Tour d'Ivoire.

Bref, tous les passages de la quête principale qui mettent soudainement l'action au premier plan alors que le jeu offrait bien davantage de liberté jusqu'ici. Le déséquilibrage est tellement prononcé qu'un personnage orienté social a peu de chances de parvenir au dénouement de ce titre, même si heureusement il y a assez de marge de manœuvre dans la dernière partie pour booster ses capacités offensives et défensives. Mais quand la plupart des forums te disent allégrement "Active le God Mode et te fais pas chier", ça en dit quand même long sur l'ampleur du désastre et la tolérance infinie de la communauté envers ce titre. :p

Il le mérite en parti car ses qualités demeurent réelles, et assez uniques, même plus de vingt ans après sa commercialisation tumultueuse. Mais tout de même, ça fait chier un peu oui. :p

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Je regrette un peu d'avoir lancé le jeu en difficile car j'ai le sentiment qu'il devient davantage chiant que plus exigeant. Le déblocage des capacités spéciales est simplement plus laborieux, ce qui pose une réelle contrainte dans plusieurs affrontements contre les boss.

Et l'affrontement final est l'accumulation de tout ce que je peux détester dans ce type de combats entre l'enchainement de coups impossible à anticiper et un prolongement extrêmement rébarbatif de l'action jusqu'à atteindre la saturation.

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Petit extrait de ma critique à ce sujet :

"Comme dans tout grand jeu vidéo, tout est affaire de choix dans Doom Eternal, non pas des dilemmes moraux qui se décident tandis que le temps suspend son envol mais des décisions instantanées, frénétiques, qui seront décisives dans la survie de notre personnage et dans l’anéantissement de nos adversaires.

C’est cet espèce d’équilibrage miraculeux entre la nervosité du gameplay et ces prises de décisions réfléchies, entre l’instantanéité des réactions du joueur et une réflexion pourtant globale sur la maîtrise du champ de bataille qui confère ce charme si particulier à Doom Eternal, cette adrénaline suffocante dont il est impératif de suivre le rythme, car les Démons ne font pas de cadeaux aux campeurs ou aux trainards, mais qu’il est également nécessaire de contrôler sous peine de céder à la panique face à un torrent d’adversaires toujours plus infernal."

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Errer inlassablement dans ces niveaux cloisonnées cherchant en vain une alternative pour finalement se plier au dirigisme effrayant que le jeu impose au joueur. De la même manière que le héros est isolé du nouveau monde qu'il vient de découvrir, la liberté interactive du joueur est si malmenée qu'elle en devient exaspérante.

Annotation :

Les séquences d'action hallucinatoires, sorte de mélange très léger d'action et de survival horror qui emmène le joueur dans l'enfer du niveau zéro absolu du Game Design. Entre l'animation grotesque des ennemis, le classicisme affligeant des scripts et de la mise en scène, le système de visée qui aurait fait mourir de rire ce brave Léon ou la construction archaique des niveaux, n'en jetez plus la coupe est pleine!

Et le pire c'est que ça dure sacrément longtemps en plus, obligeant le joueur à courir dans les niveaux en évitant les ennemis pour mettre fin à cette horreur interactive

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Les différents scénarios possibles de FTL:

-LES BOUCLIERS SONT HS! MERDE ILS TIRENT AVEC LES CANONS A IONS!!!

-L’OXYGÈNE EST HS! JE PEUX PLUS OUVRIR LES PORTES ALORS QU'IL Y A DES INCENDIES PARTOUT!!!!

-ILS SONT RENTRES DANS LE VAISSEAU! PUTAIN L'INFIRMERIE EST TOUCHÉE EN PLUS!!!

-ILS ONT PÉTÉ LE RÉACTEUR! JE PEUX MÊME PAS PRENDRE LA FUITE!!!

-NON LES ARMES SONT FOUTUES! MON BOUCLIER SERT PLUS A RIEN AVEC CES PUTAINS D ÉRUPTIONS SOLAIRES!!!

Mais un même dénouement à chaque fois:

-PUTAIN LE VAISSEAU A EXPLOSÉ! J ÉTAIS PRESQUE A LA FIN BORDEL!!!!!!!

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Règle pour le game design dans un jeu de plate forme : si ton personnage ne peut pas s'accrocher aux parois cela devient vite catastrophique dans un jeu composé à 75% de sauts.

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Le niveau final avec le gamin qui hurle "PETIT LAPIN" quand tu essaies de mettre une épée sur cette putain de roue puis ensuite de t'y agripper et de te balancer avant de tomber dans le vide parce que le système de plate forme de ce dernier chapitre a vraiment été foiré. Évidemment cette phrase doit vous paraître très étrange si vous ne connaissez pas le jeu ^^

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Mario Sunshine ou l'ultime déception de la Gamecube (ah si y a Starfox Adventures aussi). Manquant considérablement de variété et d'inspiration en comparaison de Mario 64 et de Galaxy, le jeu devenait vite redondant à jouer mais la difficulté de certaines séquences de plate forme n'arrangeait pas cette lassitude. Rien de dramatique mais un Mario sans fun c'est comme un Kebab sans pain, ça te donne envie de le jeter^^

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MAIS IL EST OU CE PUTAIN D OBJET QUI ME PERMETTRA DE CONTINUER LE SCENARIO?

CA FAIT DEUX HEURES QUE JE FOUILLE CET HÔTEL AUSSI VIDE QUE CELUI DE SHINING SANS RIEN TROUVER!

ET JE SAIS MÊME PLUS POURQUOI JE CHERCHE CE MACHIN!

NI QUEL PERSONNAGE JE DOIS RENCONTRER APRÈS!

................................................................. L'objet à trouver était dans une poubelle...........................

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J'aimais beaucoup la série animée de Bruce Timm et Paul Dini...vous connaissez la suite.

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Les séquences de stratégie sont une catastrophe absolue car elles se résument à faire cent fois des allers retours en volant sur la carte avec le maximum de chances de manquer des informations importantes (comme une de nos tours attaquées par exemple) en étant occupé à appeler des soldats. Mais alors la dernière bataille en stratégie dans le niveau difficile, il fallait être patient....Mais vu que c'est un jeu sur le Métal, on a le droit de gueuler, ça fait parti de l'ambiance.

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Le niveau zéro du beat them all existe et il s'appelle Sonic Unleashed, celui où il n'y a aucune variété dans les ennemis, pas le moindre feeling dans les combats ni le moindre challenge. Ah oui et il y a aussi les phases de plate forme où les bras de Sonic Garou ne s'allongent que quand le jeu l'a décidé. Mais vous pensez que les séquences de Sonic classique sauvent le jeu? Fuyez pauvres fous!

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Il était plus amusant d'enfermer le vieux dans le frigo que de traverser les niveaux avec leurs plate forme millimétrées. Heureusement que les flingues de Lara avaient des balles infinies histoire de se défouler un peu au bout de la dixième tentative. Si j'ai traversé par miracle la Muraille de Chine, je n'ai pas eu le courage pour Venise et ses canaux piégés (putain heureusement qu'ils les avaient enlevés quand j'y suis allé).