Les meilleurs films de 2021 selon Capitaine-CLG

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James Gunn nous livre ici une véritable dynamite dans le paysage blockbusteresque.
A la fois irrévérencieux, kitsch, violent, étrange, parfois dégueulasse mais sachant émouvoir et non dénué d'une certaine poésie, "The Suicide Squad" est un mélange ayant trouvé l'alchimie.

En bon sale gosse qu'il sait être, James Gunn joue avec les tons et leurs ruptures, offrant des instants méchamment drôles (ou drôlement méchants, c'est selon) tout en parvenant à glisser des doits d'honneur bien sentis (les USA en prennent pour leur grade).

Contrairement à l'échec de Ayer, on suit ici de vrais peau de vache, que James Gunn arrive à rendre attachant bien que ce soit de vrais psychopathes (ce que le film ne niera ni n'occultera pas contraire au premier Suicide Squad). Et de tels personnages ne pouvaient offrir que de pures scènes de barbarie et de massacre superbement mises en scène. L'action est folle et la balance des tons opérée par Gunn permet d'enchainer à la fois le dégueulasse et le kitch sublime.

Le Suicide Squad qu'on aurait tous aimé voir en 2016 !

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Véritable bouffée d'air frais malheureusement tombée sur Netflix, ce film est un vrai régal !
Aussi fun qu'il est touchant, aussi drôle qu'il est inventif, j'avais peur d'un film quelque peu "ok boomer" mais qui s'avère au contraire très nuancé sur son propos ma foi intéressant.
On suit donc cette petite famille, quelque peu déjanté, face à une apocalypse robotique avec grand plaisir. C'est fun, inventif, la famille est attachante et ce n'est pas avare en scène d'actions bien rythmées.

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J'ai un gros problème avec ce film: c'est quoi ce climax sérieux !? Je veux dire, on ne peut pas tout résoudre comme le film le fait, je suis désolé mais au vu des enjeux et de l'univers présenté dans le film, ça n'a pas de sens ! (SPOILER quand Luca est découvert par le village SPOILER).
Mais sinon, quelle bonheur ce film. Une petit bulle d'air vraiment rafraichissante, ode à la beauté des choses simples de la vie mais aussi de l'acceptation de soi et des différences.
On plonge dans cette aventure légère auprès de personnages vraiment attachants, sublimés par une animation encore très belle et riche en détails pour nous immerger dans ce petit village italien.
Certes, ce n'est pas le Pixar le plus fort en émotion, ou le plus fort thématiquement, mais c'est un Pixar qu'il fait bon de prendre comme il nous est offert, comme un petit moment de plaisir qui sent bon les vacances et suffisamment étoffé pour ne pas être une coquille vide juste là pour le divertissement, bien au contraire.

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Je pense que Méandre souffre d'avoir voulu trop en faire. Si la forme est des plus maitrisée, avec une direction artistique soignée, une impeccable performance de la part de Gaïa Weiss ainsi qu'une mise en scène des plus efficace et anxiogène, faisant vraiment bien ressentir l'angoisse des situations, le fond est un peu plus confus.
On peut y voir différentes interprétations, soit très littérale soit plus métaphorique (purgatoire ou encore schéma du deuil), sauf que le film reste assez flou, voir même carrément lunaire avec son final, ce qui laisse un sentiment de perplexité face à la signification à donner au film. Des interprétations loin d'être inintéressantes mais dont il manque un peu plus de matière pour pleinement en saisir le sens.
Reste un film m'ayant totalement fait ressentir ce qu'il promettait, claustrophobie et angoisse !

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Percutant, efficace et mené tambour battant, d'un point de vue formel BAC Nord est une réussite. Il pêche néanmoins sur son propos, qui ne me parait pas emplit de mauvaises intentions mais qui s'avère parfois maladroit et confus dans son exécution et ses représentations.

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Un film fantastico-horrifique qui distille habillement son ambiance glauque et malsaine. Les acteurs sont très convaincants, sachant retransmettre l'étrangeté de la situation, et porte vraiment le film, très minimaliste dans ses effets, évitant le too-much sans tomber dans le cache misère par une mise en scène soignée de Philippot.
Par contre, je dirai que les travers du cinéma français pointent le bout de leurs nez et le métrage est un peu plombé par sa portée sociale, qui prend parfois un peu le dessus. C'est légèrement frustrant car le concept a de bonnes exploitations mais aurait put aller plus loin encore.
Reste un bon film français qui fait son petit effet.

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Il est vraiment plaisant de voir Disney revenir avec une nouvelle aventure après les très décevantes suites de Ralph et Frozen.
On y suivra une protagoniste vraiment attachante et au parcours initiatique inspirant, avec toute une parabole sur la confiance (qui donne lieu à un climax vraiment réussit quoique un peu court et abrupt). A ses côtés, des acolytes dans la bonne ligné de Disney ainsi qu'une rivale apportant une belle dualité avec Raya. Oh et un dragon un poil osef...
L'univers est captive mais la faible durée du film force à le simplifier un peu à l'extrême, heureusement les visuels sont là pour nous en faire profiter car, faut-il vraiment le préciser, l'animation est au petits oignons.
Fruit d'inspirations diverses, il manque malheureusement à ce film ce petit je ne sais quoi qui le rendrait vraiment mémorable, je ne peux nier avoir vraiment pris du plaisir à le voir et, bien que pas exempt de défauts, il reste un bon Disney, mais je pense qu'il ne marquera pas les esprits.

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Très moyen cinématographiquement mais du pure Kaamelott jouissif dans l'âme.

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On ne vas pas se mentir, avoir un film qui nous dit qu'il faut sortir plutôt que de se terrer, perso il part déjà gagnant avec moi.
Et ce Love and Monsters a d'autres atouts dans sa manche pour faire passer un très bon moment : son acteur et protagoniste, sa direction artistique, quelques très belles scènes,...
Certes la formule est connue et sans grande surprise mais comme je le dis souvent, quand c'est bien fait, pourquoi bouder son plaisir.

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On ne peut nier que le projet en lui même est intéressant dans tout ce qu'il soulève, questionnant le pouvoir actuel du public et des fans sur une production, film inespéré qui satisfait d'enfin voir la vision d'un auteur mais qui frustre tant on sent que cette vision ne se poursuivra pas.
Evidemment, cette Snyder Cut surpasse son prédécesseur, créature de Frankenstein s'il en est, rafistolée tant bien que mal par un Whedon qui ne pouvait pas faire de miracles avec la Warner et les décisions douteuses du studios au cul.
Heureusement, Snyder à eu les mains libres pour sa Cut et ça se sent. Cette version est généreuse et c'est un plaisir de retrouver l'aspect mythologique propre à Snyder.
Cependant, Snyder reste Snyder et avec carte blanche, il a tendance à en faire trop. Pour autant, certains choix sont vraiment inattendus et plaisant dans un blockbuster de cet acabit (le ratio, des choix esthétiques, la durée, le ton général,...). Malheureusement, on reste sur un film qui, s'il se tient mieux, ne raconte toujours pas grand chose et qui garde quelques failles.
Mais je n'ai pas boudé mon plaisir, cette Snyder Cut n'est pas parfaite mais je choisi d'en garder les bons aspects, et elle en a à revendre !

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Une seconde partie du triptyque horrifique dans la bonne lancée de l'opus précédent. Hommage assumé à Vendredi 13, on se retrouve à nouveau devant un slasher plutôt plaisant, plus fun et dynamique que le premier mais toujours aussi généreux en hémoglobine (même si pas mal de hors champs). Si on est de nouveau sur des rails bien huilées (et prévisibles), j'admets avoir été agréablement surpris par la propension du film à tuer des gosses.
Petite hype pour la suite, dont l'ambiance à la The Witch vendu dans le teaser me botte vraiment !

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Je suis partagé.
D'un côté, le film se suit avec un réel plaisir par son rythme soutenu et les performances des deux Emma qui s'éclatent et cabotinent comme il faut.
Gillespie met le tout en boite avec inventivité, sachant mettre en avant les création vestimentaires excentriques du film, aidé par un très bon travail des lumières lors des scènes où Cruella se met en avant.
Mais d'un autre côté, ce film porte mal son nom. Ce n'est pas Cruella. On n'est pas au niveau d'un Maléfique (au moins à la fin, Cruella ne sauve pas de dalmatiens en devenant grande ambassadrice de la lutte pour la protection des animaux contre les fourrures) mais on reste quand même sur une Cruella rendue artificiellement dérangée. Si le scénario se tient plutôt bien, le climax s'avère un bon pétard mouillé et il manque cruellement à Cruella (ah ah) ce qui en faisait une si grande méchante... bah sa méchanceté, là elle est trop sage.
Donc voilà, j'ai passé un plutôt bon moment mais comme je m'y attendais, ce n'est pas Cruella ! Alors j'espère qu'une éventuelle suite viendra enfin nous donner la vraie Cruella mais je suis peu optimiste. En attendant, je conseil quand même ce film qui reste très agréable à suivre.

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Une bonne conclusion pour ce triptyque teen-slasher.
J'ai vraiment aimé la première partie et son ambiance chasse aux sorcières dans un village puritain de colons. On a une nouvelle fois droit à une ambiance différente pour cette nouvelle époque et ça fonctionne vraiment bien. Je suis moins emballé part la seconde partie, moins emballante mais qui évite des écueils dans lesquels ils auraient été facile de tomber. Je trouve également intéressant la façon dont le concept illustre une certaine lutte des classes, c'est plutôt bien amené et exploité.
On a donc là un bien sympathique triptyque, pouvant servir de porte d'entrée dans le genre pour un jeune public.

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Sympathique mais assez anecdotique, plein d'énergies mais alors dés que ça chante ça me sortait du film...

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L'absence de James Wan se fait cruellement sentir, sa maitrise pour jouer avec les jumpscares et l'attente du public couplé à la tension qu'il savait parfaitement géré manque à ce Conjuring qui ne fait pas bien peur.
Plus thriller que film d'horreur, l'enquête n'est pas inintéressante mais désamorce beaucoup trop les aspects horrifiques, trop peu nombreux et mise en scène avec une volonté d'être spectaculaire prenant le pas sur la peur. Les scènes sont spectaculaires, certes, mais elles ne font pas frissonner, ce que le pauvre bestiaire du film n'arrange pas.
Ce n'est pas inintéressant à suivre pour autant, comme déjà évoqué, je trouve que l'enquête se laisse plutôt bien suivre et la direction artistique apporte tout de même au film une légère ambiance macabre rattrapant quelque peu le manque de sueurs froides.
Décidément, quand James Wan n'est plus à la barre c'est pas jojo...

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Quand il assume son délire et son côté con, Freaky est des plus divertissant. Il en est même assez jouissif dans ses scènes gores, avec des mises morts plutôt inventives et une bonne dose d'hémoglobine.
Mais parfois, Freaky essaye d'être sérieux, et là il est juste débile et loin d'être subtile.
C'est donc en demi-teinte, un film à voir entre potes pour se marrer.

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Ma foi, il est sympathique ce petit slasher. C'est clairement orienté pour les ados, avec en prime une esthétique générale très Stranger Things, et en l'état, ça peut faire une entrer dans le genre slasher des plus convenable.
Bien sûr, ça ne révolutionne pas le genre et on y retrouve les défauts que l'on attend de ce genre de production pour ados mais on a tout de même un film assez généreux dans ses séquences meurtrières, pas avare en hémoglobine et plutôt bien réalisé (même si incapable de faire naître la tension). De plus, la romance au cœur du film amène un petite fraicheur des plus agréable.

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Comme le sentiment que les gars avaient pleins d'idées pour développer l'univers mais beaucoup moins pour raconter une histoire, du coup on se retrouve devant un scénario un peu osef, à l'humour poussif et un ensemble plutôt creux.
Pour autant, je ne peux pas dire que le film est désagréable en lui-même. Le rythme est bien maintenue et forcé d'admettre que l'univers est vraiment agréable à découvrir, très coloré et au bestiaire très plaisant, grandement enjolivé par une animation impeccable.
Donc pas un mauvais moment, juste osef.

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J'émettais déjà des doutes quand au premier opus, dont je trouvais le concept alléchant mais mal exploité et montrant rapidement ses limites.
Et sans grande surprise pour moi, ce film confirme encore plus mon ressenti. Le concept est toujours aussi intéressant mais ces limites sont trop importantes, en résulte pas mal de ficelles et, malgré un réel travail sur le son, je trouve toujours que ce n'est pas toujours exploité à son maximum. Je ne comprends, de plus, pas le retrait du personnage d'Emily Blunt dans le récit.
C'est d'autant plus dommage que Krasinski ne manque pas d'idées de mise en scène mais il ne va pas au bout à chaque fois, coupant trop tôt les plans séquences ou ramenant le son à des moments qui ne me semblait pas opportun.
Reste que l'ensemble se suit sans ennuie, le rythme et la tension sont bien gérée et je dois admettre que je trouve la première séquence vraiment réussit.
Comme son prédécesseur, un petit film pas désagréable en soi, plutôt très bien fait techniquement mais dont le concept manque de maîtrise dans le traitement. Dommage.

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Un Aladdin à la sauce chinoise qui n'a d'originale que de transposer Aladdin dans la chine contemporaine. La formule est vue et revue, n'innove aucunement mais est traité comme il faut, avec en prime une des personnages colorés et attachants.
C'est pas mauvais, au contraire, c'est juste incroyablement attendu et sans prise de risques sans être désagréable au visionnage.

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Bon... je vais nager un peu à contre courant sur ce coup. J'ai bien aimé ce WW1984.
Tout est loin d'être parfait, citons pêlemêle un rythme laborieux; le personnage de Cheetah raté; un Chris Pine touriste; une direction artistique aux fraises; des effets numériques non finalisés; Jenkins qui essaye de faire autre chose que du sous-Snyder niveau action et si elle ne manque pas d'idée, elle se rate un peu sur l'exécution; une reprise du mythe faustien maladroite (surtout ce qui entoure Diana) et un Zimmer qui recycle.
Mais de l'autre côté, j'avoue adoré la prestation de Gal Gadot ainsi que celle de Pedro Pascal qui cabotine un max mais c'est tellement plaisant, d'autant que je trouve son personnage assez intéressant avec sa philosophie du "toujours plus" et le fait de ne pas en avoir fait un simple "je veux dominer le monde". J'ai également bien apprécié le positivisme qui se dégage du film que j'ai trouvé particulièrement agréable en cette période. Et pour tous ce que je trouve l'exploitation du mythe faustien maladroite, certaines idées ne sont pas mauvaises et j'aime bien la manière dont tout part en couilles (pour ne pas trop spoilé).
Donc yep, j'ai bien aimé ce WW1984. A voir si cela résistera au temps (les défauts sont quand même bien nombreux).

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Venant de Disney, pour un film avec un tel budget, je suis désolé mais des effets spéciaux de cette qualité c'est juste pas possible. Ca dégouline de synthèse pas fignolée, les créatures ne sont pas crédibles une seconde et même certains environnement manquent de peaufinages au point que ça en devient presque moche par moments. C'est d'autant plus dommage que certains concepts sont vraiment cool mais gâchés par les effets spéciaux.
A part ça, cette aventure (aux inspirations évidentes, principalement La Momie de Sommers) est bien mollassonne. Les enjeux bien faible et la pauvre mise en scène ne sont rattraper que par l'énergie et le charisme des acteurs, dont un Jesse Plemons jubilatoire, incarnant des personnages attachants et qu'on a envie de suivre.
C'est pas honteux, juste fade, mécanique et sans grande énergie.

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C'est pas tant que c'est mal fait, c'est même assez bien réalisé, c'est surtout que ça ne raconte rien.
C'est juste prétexte à faire déambuler les personnages dans des lieux sombres, sauf qu'on n'en a rien à foutre de ses personnages qui manquent cruellement de caractérisation.
Mais alors le truc qui m'a saoulé dans ce film, c'est la propension des personnages à rester dans le noir. Ils ne savent pas allumer une lumière, on dirait une famille de vampires tant ils évitent la lumière... alors que ça pourrit les aider de l'allumer parfois.
Bref, en court-métrage de 10 minutes, ça aurait fonctionner, les mecs aux commandes ne me paraissant pas être des manches, mais là ils avaient rien à raconter et ça plombe le film.

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Un concept prometteur mais traité de façon incroyablement simpliste. Là ou il aurait été intéressant de développé l'évolution de cette micro-société en devenir sur plusieurs décennies, on se contente d'un simili "Sa Majesté des mouches" sur quelques jours, peu intéressant et plombé par son aseptisation.
D'autant plus dommage que les moyens étaient présents, les effets étant relativement propre et les acteurs convaincants dans l'ensemble.
Un gâchis...

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Pourquoi s'obstiner à faire des suites quand il n'y a plus grand chose à raconter. Les précédents avaient des enjeux guimauves mais au moins il y en avait, là j'ai juste suivit le tout avec un désintérêt assez conséquent. C'est Bilbon qui avait raison, faut pas tartiner du beurre sur une tartine trop grande.

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Je ne vais pas mentir, ce film était une grosse attente pour moi. Pas tant que je sois un fan de Kaiju mais j'avoue avoir pris un pied monstre devant les trois films du MonsterVerse. Donc là, King Kong et Godzilla qui se foutent sur la gueule, moi je disais "je veux !!!". Et là...

Je n'en ai rien eu à foutre de tout le film ! Je ne vais pas nier avoir pris un certains plaisir quand les deux titans s'affrontaient, mais hormis ces scènes de fight dantesques, le film ne propose rien. C'est tellement osef sur tout les points ! La mise en scène n'arrive jamais à faire ressortir le gigantisme, Kong est trop humanisé, les personnages sont useless (mais pire que dans Godzilla 2) et Godzilla fait figure de touriste ! J'en ai juste rien à foutre de ce qui se passe sous mes yeux. Godzilla 2 avait au moins pour lui, je trouve, un sens de la destruction qui installait un véritable enjeu (c'est la merde, ils vont tout détruire si rien n'est fait), là c'est vide.

En fait, le film veut juste faire son petit délire sans trop se poser de question, et pour le coup le délire est assumé (bien qu'il aurait pu l'être bien plus pour vraiment offrir un spectacle régressif et fun, là ça reste timide) mais ça enlève toute consistance au métrage.

Alors, on va tout de même reconnaitre des FX vraiment excellents et des jeux de couleurs/lumières qui apportent une certaine esthétique mais quand derrière le réalisateur manque clairement de talent ou n'a pas les épaules pour ce genre de projet...

Voilà voilà, je cache pas une certaine déception. Je m'attendais quand même à prendre mon pied malgré les défauts mais là c'est pas passé.

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Je me suis incroyablement emmerdé devant ce film !
Franchement, à part le concept du "bruit" et son sous-texte féministe (mieux amené et exploité que je l'aurai cru), je trouve que ce film n'a rien à proposé ni à raconté.
L'univers est chiant au possible, c'est visuellement inintéressant avec en prime un montage qui sent les coupures au montage et malgré les acteurs convaincants, les personnages sont d'une profonde fadeur.

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Un Spin-off qui remplit le cahier des charges de la saga sur la structure du récit mais qui n'apporte vraiment rien.
Passons sur l'absence de charisme de Chris Rock, l'idée de centrer le film sur les ripoux de la police était bonne sur le papier mais l'exploitation laisse grandement à désirer. Tout manque d'enjeux, l'enquête est bâclé et le twist est cramé dés le début.
Hormis un filtre jaunasse pour faire ressentir la chaleur, c'est visuellement inintéressant. Exit l'ambiance crade et morbide que la saga savait (plus ou moins) distillé, même les séquences de "jeux", bien qu'assez sanglantes, sont mollement mise en scène.
Mais alors la grosse bourde du film c'est quand même qu'il grille de lui-même son twist (SPOIL tous les meurtres sont montrés sauf un... tiens tiens tiens serait-ce le meurtrier par hasard qui simule sa mort SPOIL).
Bref, raté et inintéressant.

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Critique à disposition