Les meilleurs jeux TPS selon seblecaribou

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Un jeu si injustement boudé pour des défauts "mineurs" comme un scénario grand-guignol, des QTE à gogo et des persos très très sérieuxes. À côté de ça, j'ai fini la campagne à de nombreuses reprises et ai poncé le mode mercenaries qui est absolument génial avec le gameplay de cet opus.

Le jeu a une forte emphase sur la gestion d'une jauge d'endurance. On peut rouler et frapper au càc de manière bien plus poussée que dans RE4 et cela permet de gérer les ennemis de manière fun et inventive, et surtout moins contextuelle que dans le quatrième opus...

On a donc en permanence des options de près comme de loin et joué avec un peu de punch, en particulier dans la campagne de Chris, on a vraiment un équilibre de jeu remarquable quand le titre nous offre une arène correct pour en faire usage.

Et puis merde on se bat contre un Trex en bifteck qui se transforme en papillon géant quinze minutes plus tard, je ne comprends pas les notes sur ce jeu...

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Le fameux quatrième opus qui me fend le coeur, pour le calvaire qu'il a pu provoquer au fan de RE et d'horreur (j'ai du attendre 3 épisodes principaux et un paquet de spin of pour rejouer à un RE qui fait peur) mais dont je ne peux nier le savoir faire dans le rythme et les idées souvent invraisemblablement débiles pour offrir des situations de combats amusantes et tendues.

La vue à l'épaule (déjà présente dans Splinter Cell entre autres) est ici parfaitement adaptée à cette nouvelle formule. Mais je dirais que l'ajout d'un coup de pied circulaire qui se déclenche de manière contextuelle quand on blesse un ennemi à la jambe permet un contrôle de foule proche et est vraiment la nouveauté qui change le gameplay radicalement. Et le jeu offre de nombreuses armes aux sensations de tir extraordinaires encore aujourd'hui (merci le design sonore en béton armé).

Le tout dernier quart est un peu laborieux malgré la présence d'un ennemi régénérant très malaisant, mais pour le reste, c'est clairement un immanquable du genre grâce à un renouvellement des situations.

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La mobilité avant tout! J'adore Uncharted 4, probablement plus pour sa chouette histoire qui s'intéresse plus à ses personnages qu'auparavant. Mais étonnamment et après trois épisodes avec des sensations de jeu un peu faibles, Uncharted 4 a boosté le poids du personnage, à ajouté un grappin, laisse l'initiative des combats au joueur et ça rend le tout plus fluide et fun en ce qui me concerne!

J'ai encore en tête pas mal d'arènes avec de super architectures pour bouger, de la verticalité, et globalement de quoi jouer les Indiana Jones acrobates.

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Un jeu pour les gros boeufs avec des messieurs très musclés qui tabassent des monstres très musclés. C'est gris, ça saigne, ça a la voix rocailleuse...et c'est trop trop bien.

Gears Of War est vraiment un univers qui n'est pas du tout pour moi à la base. Je suis quelqu'un de paisible qui aime les personnages frêles et distingués. Et là ça charcute des "locustes" avec des tronçonneuses collées sous des fusils d'assaut. Ça injure les mères qui n'ont rien demandées à personnes. Mais c'est au service d'un jeu étonnamment pas mal écrit et ça renforce la partie gameplay également pas fine pour un sou...enfin si un peu quand même.

GeOW est l'archétype du jeu de tir à la troisième personne post-Resident Evil 4. Ce qu'il a apporté est la mise à couvert "aimantée" qui permet de tirer sans risquer de prendre de dégâts et qui s'oppose à la philosophie souvent plus YOLO du tir à la hanche. Ce second volet est mon préféré pour beaucoup de situations de combat et pour son mode "horde" qui sera tellement populaire qu'il sera pendant quelques années décliné à toutes les sauce par la concurrence. C'est aussi avec ce mode que l'on réalise que le gameplay, bien que très bourrin, offre des options tactiques intéressantes et demande un peu de jugeote pour être efficace.

Dans son genre, c'est un chef d’œuvre.

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Encore un titre qui a écrit un code pour le Jeu Vidéo. Après RE4 et sa caméra à l'épaule, Gears Of War et son système de couverture aimantée, l'immanquable Max Payne et son "bullet-time", inspiré par Matrix et incroyablement adapté au Jeu Vidéo.

De tous les titres que je liste ici, je dirais que c'est l'un des moins faciles à refaire de nos jours, la faute à une difficulté invraisemblable par moment, demandant réellement de connaître le placement des ennemis par cœur et d'exécuté à la perfection certaines séquences. Cela va un peu à rebrousse poil du concept même qui supposément permettrait d'improviser plus aisément.

Il reste une ambiance fantastique et un jeu étonnamment bien écrit, avec beaucoup de bon humour méta (ce qui n'est pas aisé à faire) et une atmosphère glauque du pire des films noirs.

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Avec les années, j'ai appris à beaucoup aimé Uncharted 2, pour son rythme maîtrisé et ses arènes de TPS permettant de bien se fendre la poire. Après un premier épisode franchement lourdingue (bourrin et dur dans le moment sens du terme) le jeu est ici bien plus raisonnable et peut compter sur une palette de mouvements vraiment chouette (roulade, tir depuis une corniche, saut suivi d'une pêche au visage...) qui, certes, rend triviale la partie plateforme, mais qui permet en échange de lier sans entorses des pouces la partie plateforme et combat.

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Je lui préfère le premier en terme d'histoire, mais niveau combat, c'est vraiment meilleur, notamment parce que le jeu exige moins de dont voyance.

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Un jeu que j'aimerais aimer plus, parce que j'adore la partie combat, le poids du personnage, comment il s'éclate contre les murs quand on se jette dedans pour esquiver une rafale. La destruction des décors mise en avant par les lieux souvent plein d'objets prêts à se faire exploser en morceaux ou à voler, favorise le spectacle.

Mais purée qu'est-ce qu'on s'emmerde avec les cinématiques!!! Rockstar a pris un virage très dangereux avec Max Payne 3, virage qui a mené une gestion des contrôles du joueur et des cinématiques parfois très limites.

Max Payne 3 est un TPS et UNIQUEMENT un TPS. Tout ce qui ne consiste pas à envoyer un objet en métal à haute vitesse dans un autre être humain est joué dans une cinématique. La conséquence est un rythme hyper hâché, en particulier dans le premier tiers, où le joueur perd la main sur le gameplay toutes les trois minutes pour voir Max ouvrir une porte ou monter une échelle en balançant une réplique sardonique sur son alcoolisme.

Super dommage, car la base mécanique est là et elle est excellente

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Les mécaniques en elles-mêmes n'ont rien de spectaculaire, encore que le jeu soit assez solide. C'est surtout l'univers gras et gore qui fait le travail de nous garder dans le jeu.

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Même chose qu'Uncharted 4. J'aime cet épisode spin of presque plus qu'Uncharted 4 par moment, mais parfois presque moins que le troisième opus...

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C'est un peu comme le second, en moins bien rythmé, peut-être un peu trop sérieux et surtout sans l'excellent mode horde. Mais c'était tout de même déjà une formule très maîtrisée, dès ce premier volet.

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C'est RE4 en moins inspiré. Ceci étant, en coopération, c'est extrêmement drôle. Le jeu parvient à maintenir l'attention, encore une fois en ayant des situations variées et souvent un peu débile, mais dans le bon sens du terme.

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Les champions du "stylish action game" sortent de la zone de confort du beat'em up pour aller sur le TPS et au premier abord, ça fleure bon le Gears Of War sous crack.

Le gimmick principal du jeu est de glisser sur les genoux en se propulsant dans son armure de super sentai. On peut ralentir le temps, tirer sur ses propres grenades, esquiver, se coller au murs (on est dans un TPS de l'ère PS360 quand même) et c'est très bien foutu, même si j'ai eu du mal à me faire à la gestion de l'endurance.

Par contre, il m'est avis que le jeu est desservie par un univers beaucoup plus faible que les autres productions Platinum, et une durée de vie hyper courte qui, même en prenant en compte le caractère ultra rejouables des productions de cette boîte, le rend rapidement obsolète.

Pas forcément la meilleure direction de Shinji Mikami, mais un jeu "cool", comme on l'entendait dans les années 1990.

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J'ai détesté son scénario prétexte à la prouesse technique. Mais étrangement en y rejouant des années après sa sortie, j'ai fini par apprécier la partie gameplay quand celle-ci se focalisait sur le combat. Fusillade à cheval au grand galop, bateau qui coule et nous fait tanguer pendant qu'on tire, échange de coups de feu à la verticale dans un immeuble en ruine en train s'effondrer...c'est quand même divertissant, malgré l'ineptie du récit proposé et de son méchant qui se téléporte en permanence pour éviter de mourir comme la logique le voudrait.

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Chouette titre, au sensation de jeu pas dingue, mais avec un gimmick très drôle: on peut détruire beaucoup de bâtiment qui sont portés par de la physique. On dynamite une poutre et soudainement l'immeuble se retrouve au sol avec ses occupants.

De bon souvenir sur ce titre, qui manque peut-être par ailleurs d'un peu de folie dans les objectifs de jeu.

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Dans la lignée des deux premiers, avec quelques points de scénario sympathique, mais la formule étant la même on perd un peu du mordant du second et de la nouveauté du premier.

(à refaire ceci dit, car j'en ai assez peu de souvenirs)

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C'est le jeu typique où les possibilités permettraient d'être incroyablement créatif, mais qui se fait plomber par le fait que l'on en ait jamais besoin.

Just Cause 3 propose un grappin qui permet de s'accrocher à n'importe quoi pour lui foncer dessus, qui permet d'accrocher deux choses entre elles (un mec et un avion de chasse, une bouteille de propane et un mec, un mec et une voiture, un mec et un autre mec...). Just Cause 3 propose une tenue d'écureuil volant qui permet de planer de n'importe où et qui, associée au grappin, permet même d'escalader n'importe quoi. Just Cause 3 a des avions de chasse, des hélicoptères de combat, des tanks, des mitrailleuses lourdes sur des 4WD, des armes à gogo...

Mais en réalité, on a seulement besoin des hélicoptères de combat et quelques roquettes et on peut résoudre 99% des situations de combat. Les ennemis sont trop cons et trop peu résistant, et le jeu n'exige jamais d'inventivité.

J'ai quand même rit de nombreuses fois devant l'absurdité du niveau de destruction que propose cette saga...mais il y a constamment un goût d'acte manqué.

Annotation :

Idem en moins bien.