Les meilleurs jeux vidéo de 2016 selon Olryn

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The Witness m'a boulversé, il devrait prendre au moins les 8 premières places de ce top à lui tout seul tellement il écrase tout ce que 2016 a pu nous offrir.

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Obduction est magnifique, poétique et incroyablement imaginatif. La recette n'a pas pris un ride depuis les Myst, mais un léger manque de folie vient entacher un jeu où pourtant tout était possible.

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Dishonored 2 n'invente rien, mais transcende tellement les codes du level design qu'il en devient à lui seul une pierre incontournable dans l'édifice du jeu vidéo.

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Mankind Divided est un grand jeu, incroyablement plaisant à jouer mais sa narration tronquée et son manque de nouveauté viennent malheureusement légèrement noircir le tableau.

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Touchant, innovant et maitrisé, Oxenfree offre une nouvelle vision du jeu d'aventure recentrée sur ce qui importe le plus dans ce genre, selon moi : l'intéraction par le dialogue.

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Fidèle à eux même, Naughty dog nous offre encore une fois du grand spectacle à l'efficacité constante, et repousse encore plus loin sa maitrise de la l'interactivité mise en scène.

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L'open world offre pour moi une dimension d'improvisation dans le parkour, qui du coup en devient bien plus intuitive et grisante. Ajouté à ça l'excellente gestion de la fantastique musique de Solar Fields, Catalyst est une expérience délicieusement hypnotique.

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Firaxis nous offre une experience encore plus viscérale, tout en remettant en question chaque élément de gameplay introduit dans l'épisode précédent.

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Dans ce genre toujours embryonnaire, Firewatch impose avec brio sa vision du walking simulator en la rendant plus palpable, plus maitrisée.

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Après toutes ces années à espérer un point & click digne de l'ambiance de Gabriel Knight, Kathy Rain est malgré ses défauts, et si l'on met de côté l'excellent Gray Matter, ce qui peut probablement s'en rapprocher le plus à l'heure actuelle.

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Superhot n'est en rien révolutionnaire, mais nous propose un gameplay original, particulièrement bien réfléchi, et excessivement addictif.

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Inside est un bon jeu, pétri de bonne idées, dommage qu'elles soient aussi superficiellement exploitées.

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Virginia n'a aucune prétention, mais transcende tellement les codes de la narration interactive, qu'il en devient indispensable.