Réactions de Pierre Poissant

Vraiment l'une des toutes meilleures adaptations de ces dernières années.

Excellente conclusion aux imperfections du Menteur, et au personnage de Dorante. La fin métadramatique est savoureuse. A lire absolument dans la 1ère édition.

Que se passerait-il si les pères, loin d'être conciliants comme à l'accoutumée chez Corneille, abusaient de leur autorité en matière d'amour ? C'est le point de départ souvent oublié de l'IC.

Magnifique. L'aboutissement de toutes les "comédies morales" précédentes, en renouant avec le romanesque de Mélite. Pièce shakespearienne, et préfigurant Le Misanthrope.

Terriblement nulle.

Un chef-d'oeuvre ! Badinages, quiproquos, tragique feint, burlesque, morale, romanesque... Mêmes nos féministes à deux balles y trouveront leur compte, tant les personnages féminins sont excellents !

Pièce qui a inspiré Le Menteur de Corneille. Typique du théâtre baroque espagnol. Un gros bordel final, mais très amusant.

Recueil de 3 nouvelles : -Les Rencontres : 4/10 : médiocre -Le collaborateur : 6/10 : Picot est attachant mais caricatural. -Le droit romain n'est plus : 9/10 : chef-d'oeuvre méconnu.