Burn est un tournant dans l'histoire de Deep Purple. Ian Gillian est remplacé par David Coverdale. Avec ce changement revient l'éternelle question-phare du milieu des années 70 : était-ce mieux avant ? il me semble clair que Coverdale apporte une voix plus efficace que son prédécesseur, mais les compos m'ont paru moins lumineuses - contrairement à ce que laisse entendre la pochette - et les solis de Blackmore moins percutants que lors des albums précédents. Alors, match nul ? Burn ne restera pas un album inoubliable dans la discographie de D.P., mais reste intéressant avec quelques très bons morceaux comme "Mistreated".
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le 10 mars 2017
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