Little May, les petites protégées de Matt Berninger, débarque avec un premier album. Rien d'étonnant donc à retrouver notre little may au travers de compositions calibrées, superbement réalisées avec élégance entre ombre et lumière.
Si vous lancez la chanson Seven Hours, sublime et envoutante, difficile de ne pas songer à The national avant d'entendre leurs succulentes voix féminines.
Notre trio réalise là un joli coup avec un premier album au style affirmé qui, même s'il ne révolutionne pas le genre, nous livre de belles envolées, de moments de grâces, de mélodies évidentes.
Il faudra aller plus loin, taper plus fort dans les tripes pour nous décrocher le coeur et figer le temps mais c'est déjà pas si mal pour un premier opus.
Créée
le 31 août 2016
Critique lue 55 fois
Du même critique
A bien des égards, il m'est difficile de critiquer cette série. Tout d'abord parce que c'est MA série préférée, au delà de toute critique objective, de tout critère scénaristique relatif à...
Par
le 14 déc. 2013
20 j'aime
7
L'histoire vraie d'Anastasia est triste et sanglante, une sombre page de l'histoire de Russie...mais si la princesse avait survécue, et qu'elle était là, quelque part ? C'est ce rêve que nous raconte...
Par
le 23 sept. 2010
17 j'aime
3
Non, ce livre n'est pas fait pour les dépressifs ! Foutez moi en l'air cet argument infondé. Piétinez-le, rangez-le dans votre poubelle adorée des préjugés. Les gens heureux ne lisent pas que...
Par
le 8 févr. 2012
15 j'aime
