Je disais dans une précédente critique que le poète Kekra était face à un choix. Rester sur la berge ou plonger. Il a décidé et son oeuvre suit donc un développement verticale tandis ce que son âme flotte lentement vers de nouveaux horizons spiritualisés. Il doit affronter, en ce moment même, les phalanges de l'Erèbe, les figures informes de l'ombre et les êtres de la nuit et du mystère. J'entends la pulpe de son doigt caresser les énigmes des ténèbres ; le fruit est bientôt mûr.
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le 15 avr. 2018
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