Crossover entre l'Ile au trésor et les mystérieuses cité d'or, cette série avait tout pour attirer les vieux enfants nostalgiques que nous sommes devenus.

Après un premier tome un peu poussif, la série trouve son rythme et se laisse lire sans déplaisir. A la lecture, la puissance du graphisme de Dorison (encrage nerveux, sens inné du cadrage, mise en couleurs ténébreuse) fait oublier les quelques faiblesses narratives, malheureusement courantes dans la production BD actuelle (dialogues bâclés, psychologie sommaire des personnages).

Long John Silver : pitch prometteur, mais un brin sous-exploité ?

Réponse définitive dans le(s) prochain(s) tome(s).
beebee
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le 9 janv. 2011

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