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Bora
Souhaitant partir à la découverte de l'oeuvre de Naoki Urasawa, mon choix s'est rapidement porté sur "Pluto". Pour une raison simple. Huit tomes seulement à lire. Dès le quatrième de couverture...
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le 12 sept. 2014
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on ne m'y reprendra plus
De Naoki URASAWA j'ai lu "Monster" "20th Century Boys" et maintenant "Pluto".
A chaque fois, on a le droit à une introduction magistrale mais à chaque fois ça se casse la gueule et de plus en plus tôt.
Pour Monster, la fin est déstabilisante, pour "20th Century Boys" ça devient n'importe quoi vers le tome 12, pour Pluto ça devient poussif dés le tome 3 ou 4.
Le début est, comme d'habitude chez Urasawa, une leçon de mise en scène avec des instants angoissants/émouvants/intriguants. Comme je savais que la série ne durerait que 8 tomes j'avais bon espoir que cet élan ne soit pas brisé trop vite mais que nenni! Urasawa enchaine les coups de théâtres, comme d'habitude, mais à force, comme d'habitude, les enjeux nous échappent et on suit machinalement l'histoire jusqu'à la fin qui a quand même l'avantage de venir assez vite.
Pour conclure : Urasawa une fois ça va, deux fois ça va, trois fois bonjour les dégâts!
A chaque fois, on a le droit à une introduction magistrale mais à chaque fois ça se casse la gueule et de plus en plus tôt.
Pour Monster, la fin est déstabilisante, pour "20th Century Boys" ça devient n'importe quoi vers le tome 12, pour Pluto ça devient poussif dés le tome 3 ou 4.
Le début est, comme d'habitude chez Urasawa, une leçon de mise en scène avec des instants angoissants/émouvants/intriguants. Comme je savais que la série ne durerait que 8 tomes j'avais bon espoir que cet élan ne soit pas brisé trop vite mais que nenni! Urasawa enchaine les coups de théâtres, comme d'habitude, mais à force, comme d'habitude, les enjeux nous échappent et on suit machinalement l'histoire jusqu'à la fin qui a quand même l'avantage de venir assez vite.
Pour conclure : Urasawa une fois ça va, deux fois ça va, trois fois bonjour les dégâts!
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le 4 déc. 2011
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