Dans cette très imposante BD de plus de 260 pages, le récit m’a semblé un peu nonchalant, mais j’ai apprécié la douceur du Portugal et le réconfort que peut apporter la famille. J’ai trouvé, par ailleurs, un peu dommage que le portugais ne soit jamais traduit. Sans comprendre la langue, on se sent quelque fois exclu des conversations.
Côté dessins, Cyril Pedrosa nous offre des planches bouillonnantes. Le trait est vif et les ambiances de couleurs très marquées.
Ne soyez pas effrayé par le volume ou les couleurs, et laissez-vous tenter par cette BD primée en 2011 qui aborde avec légèreté le sujet de la quête d’identité.