Danny Boyle a réussi l'exploit de ne pas m'ennuyer malgré un scénario timbre poste. On connait l'histoire, on sait ce qu'il va se passer et on sait comment cela va finir. Et pourtant, l'imagination de mise en scène, l'originalité de certains passages, la variété de styles, ajoutés aux sublimes plans de paysages, font de 127 heures un film franchement plaisant à regarder qui tient en haleine de bout en bout.
pfillinger
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le 31 déc. 2014

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