Après la très forte impression de Bons Baisers de Bruges et le naufrage Sept Psychopathes, n’arrivant pas à trouver un équilibre entre éclairs de génie et beauferie lourdingue, on attendait Martin McDonagh au tournant. À tout moment, et par sa volonté de traiter son sujet par le drame et le comique, Three Billboards pouvait tomber dans l’écueil de son prédécesseur. Heureusement pour nous, ce n’est pas le cas.
La critique en intégralité : https://onsefaituncine.com/2020/06/02/three-billboards-la-force-des-mots/