Quantième Art
La première incursion des dessins animés de la franchise Astérix dans le monde de la production moderne à grande échelle ! On y perd Pierre Tornade mais Roger Carel est bien là, fidèle au poste, accompagné cette fois par Lorànt Deutsch. Autre bonne nouvelle, ce sont des Vikings (danois) aux commandes. C'est donc prometteur, mais c'est sans compter que la production est extrêmement disneyiforme. Mais avant qu'on s'en rende compte, il faut passer par les cahots d'un humour rarement conforme à la BD et qui fait mouche une petite moitié du temps. L'animation apporte un vent (du Nord) de fraîcheur, mais le film ne sait pas mettre l'œuvre originale en images animées de sorte que les anachronismes ne deviennent pas n'importe quoi.