Naïveté des personnages, poésie franchouillarde et esbrouffe de la mise en scène : Dupontel clone le cinéma de Jean-Pierre Jeunet. Si le film a le mérite de respecter l'esthétique dada et surréaliste d'après-guerre, la superficialité des personnages et les raccourcis d'écriture finissent vite par donner l'impression de regarder un dessin animé pour adultes : une oeuvre riche visuellement mais scénaristiquement bête. À retenir : la guerre, c'est mal et l'art c'est beau.

JérémyMahot
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le 30 oct. 2017

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Jérémy Mahot

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