Critique N°369 : Les incohérences sous l'océan.

• Gary est l'escargot de Bob et tout deux s'aiment énormément.
  Mais suite à l’escargotnapping de Gary, Bob l’Eponge entraîne Patrick l’Étoile de Mer dans une folle aventure vers la Cité Perdue d’Atlantic City afin de le retrouver.

Ooooooooooooooooh !!!
Qui a fait un film moyen sans plus ?
Tim Hill, le réal !!

Si la série Bob l'Eponge est un dessin animé qui m'a probablement abimé le cerveau, j'ai subit avec ce personnage mais dire que je n'ai pas aimé serait un mensonge.
Et après avoir vu les deux autres métrages et malgré ma réticence à la 3D sur ce film, je m'y suis mis.
Et c'était moyen.

Evidemment je lance Bob l'Éponge, le film : Éponge en eaux troubles en VF car je m'attendais à avoir de nouveau la petite voix stridente de mon enfance.
Malheureusement le casting FR a quasiment entièrement changé.
Donc je suis obligé de faire avec, mais malgré ça ce n'est pas mauvais et on reconnait les personnages.
Pour l'animation c'est pareil, la 3D n'est pas gênante en soit, et on s'y fait très vite.

Alors oui le coucou de Keanu Reeves (qui est là parce qu'il est à la mode à ce moment ne nous leurrons pas) Danny Trejo m'ont fait plaisir. Oui, l'apparition de Snoop Dogg m'a fait éclater de rire.
Oui les gags de situation sont plus ou moins drôle mais sont au moins présent.
Et même si l'aventure va être prisé sur le dialogue, ce film déçoit par rapport à l'univers déjà en place.

Car le kidnapping de Gary n'est là que pour un élixir de jeunesse car le roi est chauve,oui oui, comme ce segment du premier film. Ou encore le fait que Sandy et Bob se connaissent depuis apparemment leur enfance, alors que pas du tout, Bob et Patrick la rencontre à Bikini Bottom adulte.

Cependant, Bob l'Éponge, le film : Éponge en eaux troubles est un hommage à Stephen Hillenburg, le créateur l'éponge. Un film très imparfait mais qui tente de rendre hommage à son créateur. Et pour ça, on peut au moins esquisser un sourire lors des gags, même si les autres films étaient meilleurs.