The pokerman
C'est... comment dire...Mal écrit ! Déjà le concept principal est assez peu bandant : voir des gens jouer au poker numérique... tout le côté bluff est complétement supprimé, et on se demande même...
Par
le 20 nov. 2022
4 j'aime
3
Alors que faire, nous direz-vous ? Comme beaucoup d’auteur·ice·s encaissant mal les années 2000, se trouvant perdu·e·s dans des techniques de cinéma qui ne sont plus les leurs, l’envie de se moderniser fait surface. On demande à papy Claudio Simmonetti de la jouer Eurodance, on tente la photographie bien lisse qui s’apparente aux séries canons de l’époque – on se croirait dans un infect épisode des « Experts » – et on essaie de s’intéresser à l’internet par le biais des jeux en ligne. Card Player prend tous ces aspects, mais démontre surtout que Dario Argento n’y comprend rien, et est totalement perdu face à ce qu’il propose.
Critique en intégralité : https://onsefaituncine.com/2021/03/29/retrospective-dario-argento-5-le-retour-de-la-menace-de-litalodance/
Créée
le 13 sept. 2021
Critique lue 84 fois
D'autres avis sur Card Player
C'est... comment dire...Mal écrit ! Déjà le concept principal est assez peu bandant : voir des gens jouer au poker numérique... tout le côté bluff est complétement supprimé, et on se demande même...
Par
le 20 nov. 2022
4 j'aime
3
Sérieuse douche froide puisque après le très fréquentable et réussi Le Sang Des Innocents, Dario Argento réalise Card Player , un thriller poussif et d'autant plus décevant que le générique compte...
Par
le 28 févr. 2024
2 j'aime
2
Si l'on excepte le très sympathique giallo Le sang des Innoncents, retour nostalgique à sa trilogie animale, les années 2000 sont une véritable descente aux enfer pour le Maestro. Mother of Tears,...
Par
le 23 févr. 2016
2 j'aime
Du même critique
Il y a trois ans, Kheiron avait balayé l'ensemble des comédies françaises de 2015 avec Nous Trois Ou Rien. Celui dont on connaissait principalement les apparitions salaces dans Bref. offrait alors à...
le 11 sept. 2018
15 j'aime
Charlie Kaufman. Le mec réputé pour avoir signé Eternal sunshine of the spotless mind - ce qui lui vaut déjà nos points d'amour éternel - et surtout le scénariste des débuts de Spike Jonze, qui nous...
le 7 févr. 2016
12 j'aime
Les biopic et leurs règles insurmontables qui rendent le tout comme un exercice de style à respecter scrupuleusement plutôt qu'une oeuvre personnelle (Milos Forman, tu nous manques). La prétention de...
le 23 sept. 2015
12 j'aime