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Puta madré
Quand on se tourne vers le cinéma espagnol ce n'est jamais par hasard, lassé par le cinéma hollywoodien, attiré par les petites productions de genre et puis le cinéma français... mouais bof. Le...
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le 15 juin 2010
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mis en cellule 211 par l'agent 212
cellule 211, c'est du chiadé: un bon scénario qu'on aimerait (à moins que...) pas vivre, un bon acteur principal (mise en abyme? le mec est tout de même costaud pour réussir à se faire passer pour un détenu: corones). bon des fois c'est un peu trop (le coup de la télé qui film la fille enceinte se faire tabasser par un flic qui enlève son casque... euh...), et le noir très sombre... l'emporte.
mais le cinéma espagnol, côté frisson/terreur/film noir vit, merci pour lui. et ça, c'est bien.
mais le cinéma espagnol, côté frisson/terreur/film noir vit, merci pour lui. et ça, c'est bien.
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le 1 déc. 2010
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