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Puta madré
Quand on se tourne vers le cinéma espagnol ce n'est jamais par hasard, lassé par le cinéma hollywoodien, attiré par les petites productions de genre et puis le cinéma français... mouais bof. Le...
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le 15 juin 2010
9 j'aime
1
Roder de puta mierda (c'est pas moi, c'est dans le film)
Allez, pour ce film et pour une fois, je vais tenter d'être claire...
Tout d'abord n'ayant jamais vu de films de "zonzon" et au max 2 épisodes d'"Oz" (par manque de temps pas d'envie hein ?), je me suis retrouvée devant "Celda 211" sans aucun point de comparaison et ça me convenait tout à fait !
Alors bon, le scénario est un peu faiblard, avec des rebondissements amenés par de très grosses ficelles (la femme enceinte tout ça bon ok).
Cependant Daniel Monzon arrive à éclipser ces faiblesses par une réalisation sous tension, tension présente dès la première scène et jusqu'à l'assaut final. Mention spéciale à la scène d'intro justement, qui m'a bien choqué et qui a fait que la suite du film est bien mieux passée !
De plus l'histoire est très bien servie par les acteurs, notamment les prisonniers et en première ligne le ténébreux-rocailleux-brute(ux) Malamadre y del guapo Juan Oliver ;)
En bref, une bonne surprise qui me confirme mon attirance grandissante pour le cinéma hispanophone de ces dernières semaines ("Dans ses yeux"; "Puzzles").
Tout d'abord n'ayant jamais vu de films de "zonzon" et au max 2 épisodes d'"Oz" (par manque de temps pas d'envie hein ?), je me suis retrouvée devant "Celda 211" sans aucun point de comparaison et ça me convenait tout à fait !
Alors bon, le scénario est un peu faiblard, avec des rebondissements amenés par de très grosses ficelles (la femme enceinte tout ça bon ok).
Cependant Daniel Monzon arrive à éclipser ces faiblesses par une réalisation sous tension, tension présente dès la première scène et jusqu'à l'assaut final. Mention spéciale à la scène d'intro justement, qui m'a bien choqué et qui a fait que la suite du film est bien mieux passée !
De plus l'histoire est très bien servie par les acteurs, notamment les prisonniers et en première ligne le ténébreux-rocailleux-brute(ux) Malamadre y del guapo Juan Oliver ;)
En bref, une bonne surprise qui me confirme mon attirance grandissante pour le cinéma hispanophone de ces dernières semaines ("Dans ses yeux"; "Puzzles").
8
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le 11 août 2010
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