
-c'est génial, on pourrait faire tout un cours passionné, ou plusieurs même, sur l'intelligence que déploie Wilder dans ce film de deux heures et qui fonctionne sur ce sentiment simple -encore faut-il comme le fait Wilder le maîtriser totalement, en être imprégné soi-même, convaincu totalement- du ridicule qui colle complètement à l'être humain quoiqu'il fasse et quoiqu'il dise, partout. c'est dans cette réalité en temps normal "cachée" que s'engouffre puis s'exprime le cinéma. c'est simple on pourrait dire: pas de ridicule==>pas de compassion==> pas d'émotion==> pas de cinéma ^^