Cube après un démarrage séduisant devient beaucoup trop crispant en n’exploitant que faiblement l’immense possibilité d’éveiller de façon initiatique nos consciences sur un hexaèdre mythique aux multiples facettes n’étant certainement que le duplicata d’une seule image.
Trop de conflits et de vociférations ternissent le parcours de ces cobayes régressant de pièces en pièces vers un statut animal l’emportant sur l’offrande de véritables révélations.
La psychologie l’emporte sur la science et c’est bien dommage du moins pour ceux qui une fois la projection terminée repartiront déçus et surtout stressés par toute cette accumulation de haine, de débordements verbaux aux frontières de la démence réduisant au rang de potiche tout un environnement dont la carapace n'est que faiblement étudiée.
A moins que cette ultime lumière blanche ne représente pour quelques cogitos affutés la vision inespérée d'une apparence divine que nous pouvons comprendre sauvant un ensemble en perdition dont le dernier maillon entame les premières mesures.
L'être des êtres projetant à l'infini, sa chose en soi, incorporelle, isotrope, immuable, éternelle et sans partie.