Dans la maison: le néant.
François Ozon se prend pour un grand auteur, et nous éclabousse de sa prétention, avec une idée de départ très intéressante, malheureusement gâchée par les mauvais choix de Ozon. Celui-ci ne cherche qu'à se faire mousser, et choisi d'opter pour une pseudo-réflexion absurde et lourdingue, au lieu de se lancer dans un thriller étouffant, loin des conventions, déroutant, et réfléchi.
Son film est rébarbatif, prétentieux et sans saveur.
Seuls Fabrice Luchini et Krisitn Scott Thomas parviennent à tirer le film vers le haut. Ernst Umhauer est quant à lui insupportable.
La maison n'a plus qu'à brûler, ça ne sera pas une grande perte.