Debout les femmes est un des pires films politiques de ces dernières années.
Comment régler une volonté capitaliste par le parlementarisme ?
Dans ce film, il n'est cette fois même plus question de ricaner des milliardaires, et pourtant il y aurait fort à dire sur Onet par exemple, mais il est question de servir la soupe à Bonnel dont je ne ferai pas le portrait : c'est un gros con et il le restera pour les générations futures - son vécu personnel n'y changera rien.
Pour ce qui est de faire à la place des travailleurs et des travailleuses, pour ça Monsieur Ruffin n'a guère changé. On nage en pleine régression avec ce film malgré un sujet puissant, légitime et nécessaire.
Je suis profondément hostile à cette manière de porter la démocratie populaire. La scène finale est grotesque à souhait !