Cette année, en matière de film catastrophe, il valait mieux se tourner du côté de The Wave que de Deepwater. Les deux films suivent le schéma classique du genre : une longue exposition en forme de tableau social universel doublé d’une présentation des risques encourus par les protagonistes, aboutissant à un climax spectaculaire censé raviver la flamme fraternelle du genre humain. On attendait un réalisme sec de la part de Peter Berg (Du sang et des larmes), de l’autre on craignait le pastiche hollywoodien made in Norvège. Mauvaises prévisions.
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