Quand possession rime avec étron.

Je voulais me faire peur en regardant un film d'horreur, c'est le qualité qui a été horrible.

Déjà quand on n'a pas d'idées, on fait le strict minimum. Mais alors ici, ce n'est même pas ça, c'est un tuto de " comment placer tout les clichés dans un film ".

Vous voulez faire ça en mode documentaire ? Pas de problème, si c'est bien fait, mais là on commence l'histoire de manière cohérente en plaçant l'histoire, mais après... Mode YOLO activé : une mère est possédée (c'est la base de l'histoire), la fille attend 20 ans avant d'aller la voir à Rome (parce que c'est un peu bizarre quand même parce qu'on est américains), mais elle y va pour faire un documentaire. Mais what ??

Ensuite, nous avons les scènes mise les unes après les autres, mais genre avec des cuts réalisés à la hache ! Nous saupoudrons également le regard caméra de l'actrice principale qui t'indique les moments qui sortent de l'ordinaire (c'est un film d'horreur, on le sait, arrête ça !), le cameraman qui film, mais le gars serait Youtubeur, il aurait la blinde de pouces rouges.

Et les acteurs... Ce serait une comédie, j'aurais compris, le sur-jeu, les péripéties tellement téléphonées qu'on serait en hors forfait, mais là c'est tellement nul que j'avais l'impression que c'est moi qui était possédé tellement je levais les yeux.

Bref, un film incroyable de nullité et dont le scénario tiens sur un timbre.