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Wonder Wheels
Si je suis encore loin d'avoir abouti la filmographie de l'Américain Gus Van Sant, j'ai un attrait pour elle, je compte bien voir ses autres œuvres, sans pour autant me presser, laissant l'occasion...
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le 26 avr. 2018
10 j'aime
Don’t Worry, He Won’t Get Far on Foot par Thuguy
j'ai trouvé ça très pénible. J'ai presque pensé qu'il s'agissait d'un téléfilm. Un condensé des clichés des films de Gus Van Sant : des drogués, des homosexuels, des marginaux. La musique appuie beaucoup trop les scènes, c'est assez pénible. La mise en scène ne dégage, je trouve, pas grand chose. On a bien à quelques reprises des zooms/dézooms quand John ne se sent pas à sa place mais à part ça, c'est filmé sans émotion.
Joaquin Phoenix est dans sa lancée de personnages torturés : A Beautiful Day et Joker. Du coup, je ne trouvais pas ça très intéressant. Certes il joue bien, mais je n'arrivais pas à avoir d'empathie pour lui (peut-être parce que je n'aime pas les personnages drogués/alcooliques. Je ne bois pas d'alcool moi-même). Jack Black fait du Jack Black. Beth Ditto (chanteuse de Gossip, lesbienne, droguée et obèse donc parfaite pour un film de GVS) dans son premier rôle au cinéma est méconnaissable et joue assez bien.
Il y a bien une ou deux blagues qui fonctionnent mais c'est tout. Le film dure 2h, j'avais l'impression que ça n'avançait pas.
Je n'en attendais pas grand chose vu le thème et j'ai été assez déçu dans l'ensemble...
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le 31 août 2020
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