Depuis plus de vingt ans, l’australien Baz Luhrmann nous a habitué à un cinéma qui s’autorise tout, s’affranchit de toutes les limites du bon et du mauvais goût, et n’hésite pas à s’attaquer à des projets périlleux en faisant voler en éclats dans ses films toute forme de cohérence historique.
En 1996, il adapte la pièce de William Shakespeare « Roméo et Juliette » dans une version trash, violente et rock n’ roll, et offre à l’époque la possibilité au jeune Leonardo DiCaprio de bousculer son image de sex-symbol pour adolescentes. Dix-sept ans plus tard, Luhrmann retrouve DiCaprio pour l’ambitieux projet de porter sur grand écran le roman culte de F. Scott Fitzgerald, GATSBY LE MAGNIFIQUE. Dans une version grandiloquente et ultra glamourisée, Baz Luhrmann nous peint un Gatsby noyé dans les paillettes et la démesure.
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