D’habitude, Roland Emmerich aime ouvrir ses films sur la bannière étoilée flottant au vent, mais pour ce "Godzilla", nous Français avons le grand honneur d’ouvrir le bal avec une Marseillaise qui prend très vite des tons menaçants. Autant dire que nous avons de la chance, car nous serons les seuls à pouvoir rire de ce film du début jusqu’à la fin tant il accumule les clichés et ne s’en cache même pas ! Parce qu’à par ça, pas grand-chose à se mettre sous la dent : notre Godzilla nippon tant aimé à été substitué par un T-Rex mutant probablement recyclé d’un projet tombé à l’eau de Paul Anderson, genre "Jurassic Park versus X-Men". Seul lot de consolation donc, notre Jean « Weno » national (prononçons comme la bande annonce après tout) et de ses sept acolytes, tous prénommés Jean-quelque chose ! Quand je vous disais qu’il y avait quoi rire dans ce film…