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Enter the void.
On ne va pas se mentir, "Gravity" n'est en aucun cas la petite révolution vendue par des pseudo-journalistes en quête désespérée de succès populaire et ne cherche de toute façon à aucun moment à...
Par
le 27 oct. 2013
268 j'aime
36
La forme sans le fond
Un buzz énorme précédait le dernier film de Cuaron, réalisateur attachant (son "fils des hommes" m'avait entousiasmé), aussi je me suis précipité pour le voir.
Quel choc (à tous points de vues), la maitrise technique est totale, ah ce plan séquence d'ouverture de 15 minutes, cette immersion fine dans les personnages et une 3D juste parfaite (et pourtant je suis 3D refractaire), c'est superbe de beauté (les larmes de Bullock...) mais et oui il y a un mais ou est le scénario ???
Ben il n'y en a pas, c'est un survival classique avec 2 acteurs pas en grande forme, Clooney cabotine en roue libre dans son personnage de baroudeur de l'espace au grand coeur et Bullock en scientifique dépressive (enfin pas trop quand même) est médiocre (qui a dit comme d'habitude).
L'émotion passe uniquement par les images jamais par l'interprétation des acteurs, certaines scènes frisant même le ridicule (les aboiements de Bullock...). C'est dommage car avec d'autres acteurs et un scénario plus solide et profond nous tenions un chef d'oeuvre. Reste le message de Cuaron déjà porté par "les fils de l'homme", la femme est l'espoir de l'humanité. Dommage qu'il soit ici incarné par Sandra Bullock...
Quel choc (à tous points de vues), la maitrise technique est totale, ah ce plan séquence d'ouverture de 15 minutes, cette immersion fine dans les personnages et une 3D juste parfaite (et pourtant je suis 3D refractaire), c'est superbe de beauté (les larmes de Bullock...) mais et oui il y a un mais ou est le scénario ???
Ben il n'y en a pas, c'est un survival classique avec 2 acteurs pas en grande forme, Clooney cabotine en roue libre dans son personnage de baroudeur de l'espace au grand coeur et Bullock en scientifique dépressive (enfin pas trop quand même) est médiocre (qui a dit comme d'habitude).
L'émotion passe uniquement par les images jamais par l'interprétation des acteurs, certaines scènes frisant même le ridicule (les aboiements de Bullock...). C'est dommage car avec d'autres acteurs et un scénario plus solide et profond nous tenions un chef d'oeuvre. Reste le message de Cuaron déjà porté par "les fils de l'homme", la femme est l'espoir de l'humanité. Dommage qu'il soit ici incarné par Sandra Bullock...
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le 25 oct. 2013
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