Ou quand le fantastique et l’horreur font place au burlesque.
Le 31 octobre 2017, je découvrais Happy Death Day que j’envisageais comme le nouvel espoir du slasher post 2000. Le premier venu d’une nouvelle génération relançant le genre. Et si finalement il n’était pas totalement à la hauteur de mes attentes, s’il faisait plus office d’un long métrage prétexte à une grande poilade entre potes plutôt qu’au grand frisson. Il restait tout de même la preuve que l’on peut encore proposer de bons slashers en post nouvelle vague. Une nouvelle vague marquée par des longs métrages comme : Urban Legend (1998), Souviens-toi l’été dernier (1997) ou encore mon petit chouchou, Scream (1996). Ça faisait donc un moment qu’un slasher de qualité n’était pas sorti sur les écrans. Exception faite des slashers méta tel que You might be the killer (2018) ou encore The final girls (2015). Le slasher contemporain est encore loin de rassasier mes envies en la matière.
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