Du plagiat en institution.
Yann Artus Bertrand, faux écolo mais vrai business man (le sieur se rend d'un de ses bureaux à l'autre, distant de quelques kilomètres, en hélicoptère) , se permet de plagier éhonteusement Godfrey Reggio, et sa trilogie des Qatsi :montage et discours similaire, musique approchante, images à couper le souffle en timelapse, en comptant sur la quasi-ignorance du public quant à cette oeuvre. Loin de la portée philosophique du premier des Qatsi, qui s'interrogeait sur la place de l'homme dans un système construit pour noyer l'individu, le résultat de ce film est une collection de belles images de fond d'écran, mais rien d'autre.
Artus Bertrand, j'espère bien que tu vas chopper un polype rectal en 2013.