Valeria nous fait part de ses petits atermoiements personnels, et malheureusement on n'en à rien à foutre. En effet, comment s'intéresser à une petite enfant gâtée, fille de riche, bigote à ses heures, qui trouve le moyen de se plaindre parce qu'elle est née millionnaire? Il faudra lui expliquer qu'il y a pire comme problème, comme par exemple la faim dans le monde, la guerre en Irak, Fukushima, le covid-19 et le sida. Et avec la crise financière, on a du mal à compatir avec sa douleur d'avoir un compte en banque plein à craquer. Si cela la fait tellement souffrir, elle n'a qu'à confier son fric à une ONG qui saura quoi en faire. En tout cas, pas ce film agaçant, plein de vacuité et de trous d'air, qui ne sert à rien.