Comme l'indique la tagline, il ne faut surtout pas énerver John Wick ! Il est capable d'abattre une centaine d'hommes sous le prétexte que l'un d'eux a froidement buté son chien... Son adorable petit chien. Un irrésistible beagle. Celui que sa femme lui avait laissé après sa mort comme cadeau posthume. La seule chose qui lui restait d'elle. La seule chose qui le maintenait dans une vie normale, rangée des voitures. Cette existence bien tranquille qu'il avait choisie après de longues années à œuvrer en tant que tueur à gages pour de sombres organisations mafieuses. John Wick était surnommé le "Baba Yaga", ce qui semble vouloir dire le boogeyman, le croque-mitaine, le démon, le Diable, grosso modo. Redouté de tous, il était le nettoyeur le plus efficace. Quand le grand chef de la mafia apprend que sa progéniture a dérobé la Mustang et a abattu le clébard de John Wick, il voit rouge. Il sait que son con de fils a malencontreusement réveillé une bête capable de tout ! Lire la suite de la critique...