En un mot ? Cliché.
On sait que ça risque d'être décevant en y allant, mais, effet de groupe oblige, on va le voir un vendredi soir avec ses copains, alors qu'on aurait été moins déçu par Thalassa (sur les raies en plus).
Donc on s'installe tranquillement, et on ose espérer retrouver la magie du premier Jurassic Park. Les images sont belles, impressionnantes, on se sent rajeunir (plus qu'avec Nivea Q10+). Les petits clins d'oeil au premier film sont légion. C'est cool. On est bien, là. Et puis bon, comme il faut un peu d'action quand même, tout part en couille. Comme dans le premier. Et à partir de là, ça vire au n'importe quoi. On enchaîne les clichés, on reprend les vieilles ficelles qui ont marché en 1993, mais qui ne surprennent plus personne. Jusqu'aux plans finaux... là... bon... 'fin voila quoi. Comme c'est le dernier truc que tu vois, bah tu ne peux que pleurer. Heureusement, ta voisine de siège te lance cette réplique tout simplement divine "n'empêche que Chris Pratt pue le sexe dans ce film". Merci.
En revanche, malgré cette déception, le parallèle entre Jurassic World, et le monde du cinéma, fait dans un article d'Allociné semblait tout à fait pertinent. Le voici juuuuuuuste là !
Bonne lecture.